Hors ligne
Nicolas, pourquoi est-ce que tu écris ?
Je vais essayer d’y répondre avec la poésie qui suit.
Alors que certains utilisent la musique,
Pour les bonnes sensations qu’elle communique,
Moi, j’aligne des lettres pour former des mots,
Et, grâce à cela, j’arrive à calmer la plupart de mes maux.
Je repasse dans ma tête les différents souvenirs,
Les meilleurs tout comme les pires,
Et je sélectionne finalement des parties,
Avant de les rassembler dans ma tête pour en faire un écrit.
Cela devient alors mon exutoire,
C’est comme si je me retrouvais devant un parloir,
Qui se retrouvait témoin de ma vie,
De mes différent problèmes et soucis.
Car j’étais, je suis et je serais toujours un homme,
Je suis loin d’être comme vous le constater, un surhomme.
Je ressens moi aussi des émotions,
Qu’il faut manier avec une certaine précaution.
Je m’inspire toujours de mon entourage,
Qui est une énorme source d’apprentissage.
Je ne peux d’ailleurs pas m’arrêter de penser à toi,
J’entends encore tes rires, tes paroles parfois.
Tu disais toujours qu’il fallait trouver ses compagnons,
Ceux qui nous aiment et nous aident dans chaque action.
Je pourrais te dire que je les ai trouvés,
Ces gens, que je ne ferais qu’aimer.
La famille en fait bien évidemment partie,
Je serais sans eux dans une véritable anarchie.
Vivre seul serait comme vivre sans un but,
Dans un monde qui aurait semblé bien plus abrupt.
Je ne peux oublier ces autres gens,
Inconnus, puis finalement devenus amis importants,
Vous formez une union importante,
Votre présence m’est réconfortante.
Je vous dis à tous du fond du cœur, merci !
Recevez tous, autant que vous êtes, mon amour infini.
Je vais essayer d’y répondre avec la poésie qui suit.
Alors que certains utilisent la musique,
Pour les bonnes sensations qu’elle communique,
Moi, j’aligne des lettres pour former des mots,
Et, grâce à cela, j’arrive à calmer la plupart de mes maux.
Je repasse dans ma tête les différents souvenirs,
Les meilleurs tout comme les pires,
Et je sélectionne finalement des parties,
Avant de les rassembler dans ma tête pour en faire un écrit.
Cela devient alors mon exutoire,
C’est comme si je me retrouvais devant un parloir,
Qui se retrouvait témoin de ma vie,
De mes différent problèmes et soucis.
Car j’étais, je suis et je serais toujours un homme,
Je suis loin d’être comme vous le constater, un surhomme.
Je ressens moi aussi des émotions,
Qu’il faut manier avec une certaine précaution.
Je m’inspire toujours de mon entourage,
Qui est une énorme source d’apprentissage.
Je ne peux d’ailleurs pas m’arrêter de penser à toi,
J’entends encore tes rires, tes paroles parfois.
Tu disais toujours qu’il fallait trouver ses compagnons,
Ceux qui nous aiment et nous aident dans chaque action.
Je pourrais te dire que je les ai trouvés,
Ces gens, que je ne ferais qu’aimer.
La famille en fait bien évidemment partie,
Je serais sans eux dans une véritable anarchie.
Vivre seul serait comme vivre sans un but,
Dans un monde qui aurait semblé bien plus abrupt.
Je ne peux oublier ces autres gens,
Inconnus, puis finalement devenus amis importants,
Vous formez une union importante,
Votre présence m’est réconfortante.
Je vous dis à tous du fond du cœur, merci !
Recevez tous, autant que vous êtes, mon amour infini.