Hors ligne
J'avais 14 ans il en avait 26
C'était en 1961
Il me demanda si je voulais aller à la fête du village
Je demandais à ma grand mère qui me répondit : si le tonton est d'accord oui
Je posais la même question à mon oncle qui me fit la même réponse .
Je ne leur laissais pas le temps de se concerter et me voilà partie à pied au village distant de 5 kilomètres.
La Robert m'attendait.
Nous passâmes un bon après midi et écoutâmes Rika zarai.
Puis il me ramena en voiture et déposa un baiser léger sur ma joue. J'étais aux anges.
Tous les dimanches nous nous revoyons à l'orée du bois de la "chadeniere " ou je le guettais arriver du grenier de la ferme de ma grand mère.
Je le rejoignais en courant.
A chaque fois il m'apportait un paquet de bonbons qui était pour moi le plus merveilleux des cadeaux et la preuve qu'il m'aimait.
Nous nous contentions de petits baisers sur les lèvres, cela nous suffisait jusqu' au jour où ma main s' enhardit sur la proéminence de son pantalon. Il me la retirée doucement et me dit sois patiente. Je t'attendrai.
Les vacances finies je rentrai à Lyon et nous nous écrivions toutes les semaines par l'intermédiaire d'une camarade de classe chez qui arrivaient les lettres tant attendues.
Et puis un jour sa dernière lettre arriva comme un coup de massue
"Ne m' écris plus, je suis marié "
J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et je me suis fais une raison . Je ne l'ai jamais oublié. Il est toujours enfoui au plus profond de mon coeur. c'était mon PREMIER AMOUR
C'était en 1961
Il me demanda si je voulais aller à la fête du village
Je demandais à ma grand mère qui me répondit : si le tonton est d'accord oui
Je posais la même question à mon oncle qui me fit la même réponse .
Je ne leur laissais pas le temps de se concerter et me voilà partie à pied au village distant de 5 kilomètres.
La Robert m'attendait.
Nous passâmes un bon après midi et écoutâmes Rika zarai.
Puis il me ramena en voiture et déposa un baiser léger sur ma joue. J'étais aux anges.
Tous les dimanches nous nous revoyons à l'orée du bois de la "chadeniere " ou je le guettais arriver du grenier de la ferme de ma grand mère.
Je le rejoignais en courant.
A chaque fois il m'apportait un paquet de bonbons qui était pour moi le plus merveilleux des cadeaux et la preuve qu'il m'aimait.
Nous nous contentions de petits baisers sur les lèvres, cela nous suffisait jusqu' au jour où ma main s' enhardit sur la proéminence de son pantalon. Il me la retirée doucement et me dit sois patiente. Je t'attendrai.
Les vacances finies je rentrai à Lyon et nous nous écrivions toutes les semaines par l'intermédiaire d'une camarade de classe chez qui arrivaient les lettres tant attendues.
Et puis un jour sa dernière lettre arriva comme un coup de massue
"Ne m' écris plus, je suis marié "
J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et je me suis fais une raison . Je ne l'ai jamais oublié. Il est toujours enfoui au plus profond de mon coeur. c'était mon PREMIER AMOUR