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Quand je t’aime au grand jour… que les harpes suprêmes
Comme des desseins de lys rescapés des échos
Me prêtent à mon cœur de mon cœur à moi-même
La terre nous confie des balançoires d’eau.
Tous les ponts du bonheur ont de Tendre l’ivresse
Suspendue ; sous les flots du hasard ou du sens.
Un souffle comme écrin pour que le cœur renaisse
Prunelle aux yeux du monde alizés des absents.
Quand je t’aime en artiste… il flotte sur mon encre
Un fil tendu de loin au chevalet des vies
Sur le cours de mes ans arrimé à son ancre
Aussi près de mes mots qu’un funambule épris.
Pèlerin sur sa page et libre comme une aile
Où la palette à moire entend ceindre les monts
De toutes les couleurs une seule éternelle ;
Vérité ou néant… nos soleils dormiront.
Comme des desseins de lys rescapés des échos
Me prêtent à mon cœur de mon cœur à moi-même
La terre nous confie des balançoires d’eau.
Tous les ponts du bonheur ont de Tendre l’ivresse
Suspendue ; sous les flots du hasard ou du sens.
Un souffle comme écrin pour que le cœur renaisse
Prunelle aux yeux du monde alizés des absents.
Quand je t’aime en artiste… il flotte sur mon encre
Un fil tendu de loin au chevalet des vies
Sur le cours de mes ans arrimé à son ancre
Aussi près de mes mots qu’un funambule épris.
Pèlerin sur sa page et libre comme une aile
Où la palette à moire entend ceindre les monts
De toutes les couleurs une seule éternelle ;
Vérité ou néant… nos soleils dormiront.