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<< QUAND J’ÉCRIS DES SONNETS... >>
Quand j'écris des sonnets, j'épanche ma conscience,
Au regard de tous ceux qui viennent sur mon mur,
Avides ou curieux, me voir briser l'armure,
Je viens m'abandonner en vers de circonstance.
Quand j'écris des sonnets, je livre l'expérience,
Et sans regret, sans peur, tous mes secrets obscurs,
S'ouvrent à la lueur de mes douleurs impures,
Du petit garçonnet à mes réminiscences.
Quand j'écris des sonnets, je veux rendre un hommage,
Aux maîtres des sonnets, qui mirent des images,
Tout au fond de mon coeur, pourtant inaccessible.
Quand j'écris des sonnets, je soulage mon âme,
D'un trop plein d'émotion, qui s'avère être infâme,
Pour mes abjurations et me rend irascible.
01 novembre 2019
Quand j'écris des sonnets, j'épanche ma conscience,
Au regard de tous ceux qui viennent sur mon mur,
Avides ou curieux, me voir briser l'armure,
Je viens m'abandonner en vers de circonstance.
Quand j'écris des sonnets, je livre l'expérience,
Et sans regret, sans peur, tous mes secrets obscurs,
S'ouvrent à la lueur de mes douleurs impures,
Du petit garçonnet à mes réminiscences.
Quand j'écris des sonnets, je veux rendre un hommage,
Aux maîtres des sonnets, qui mirent des images,
Tout au fond de mon coeur, pourtant inaccessible.
Quand j'écris des sonnets, je soulage mon âme,
D'un trop plein d'émotion, qui s'avère être infâme,
Pour mes abjurations et me rend irascible.
01 novembre 2019
