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Hors ligne
Quand le cœur prend la plume !
Voilà! Tout bien pensé, je vous aime madame
La chose n’est pas neuve et cela fait longtemps
Que vous avez jeté un doux sort à mon âme
En venant y semer un bonheur permanent
La chose n’est pas neuve et cela fait longtemps
Que vous avez jeté un doux sort à mon âme
En venant y semer un bonheur permanent
Sans doute, me direz vous, je le savais déjà
Mais vous auriez pu croire que les ans s’entassant
J’aurais eu un amour moins fin moins délicat
Ma chère c’est le contraire il va s’agrandissant
Mais vous auriez pu croire que les ans s’entassant
J’aurais eu un amour moins fin moins délicat
Ma chère c’est le contraire il va s’agrandissant
Les attraits de jeunesse ayant leurs conséquences
Nous eûmes les excès de l’attraction des corps
La passion parfois a des extravagances
Illustrant d’incendies les amoureux efforts.
Nous eûmes les excès de l’attraction des corps
La passion parfois a des extravagances
Illustrant d’incendies les amoureux efforts.
Or l’on eut pu penser que l’âge désamorce
Les sensualités aux sommets délectables
Que les tisons au feu voient dépérir leur force
Et que le temps, toujours, est un mal redoutable.
Les sensualités aux sommets délectables
Que les tisons au feu voient dépérir leur force
Et que le temps, toujours, est un mal redoutable.
Ma douce Il n’en est rien la furie sensuelle
N’est qu’un fol sentiment qui se fait provisoire
On ne peut infléchir l’ascendance charnelle
Sans voir s’effilocher le cœur et son histoire
Vous fîtes tant ma dame en maints instants divers
Pour donner un écho à ma tendre attirance
Que nos vies réunies n’eurent jamais d’hiver
Et que nos sentiments ignorent l’obsolescence.
N’est qu’un fol sentiment qui se fait provisoire
On ne peut infléchir l’ascendance charnelle
Sans voir s’effilocher le cœur et son histoire
Vous fîtes tant ma dame en maints instants divers
Pour donner un écho à ma tendre attirance
Que nos vies réunies n’eurent jamais d’hiver
Et que nos sentiments ignorent l’obsolescence.
Vous êtes à la fois la compagne l’amante
Celle dont la présence est mon vital atout
La muse d’une vie adorable et charmante
Le monde n’était rien , je ne suis rien sans vous.
Celle dont la présence est mon vital atout
La muse d’une vie adorable et charmante
Le monde n’était rien , je ne suis rien sans vous.
Alors vivons très chère en ce temps qui nous reste
De façon raisonnée en restant un peu fous
Car si se ralentissent nos ivresses nos gestes
Vous rendre encor heureuse est un sublime atout .
De façon raisonnée en restant un peu fous
Car si se ralentissent nos ivresses nos gestes
Vous rendre encor heureuse est un sublime atout .
Osons quand le feu prend ,user de nos savoirs
Pour suivre de nos corps les chaleurs qui persistent
L’âge rend moins fréquent les amoureux devoirs
Mais aux ans écoulés l’intensité résiste.
Pour suivre de nos corps les chaleurs qui persistent
L’âge rend moins fréquent les amoureux devoirs
Mais aux ans écoulés l’intensité résiste.
Les fêtes s’espaçant n’en sont pas moins exquises
Et c’est un grand bonheur que désirer toujours
La douceur d’un moment de volupté promise
Quand tendresse devient une fête d’amour .
Et c’est un grand bonheur que désirer toujours
La douceur d’un moment de volupté promise
Quand tendresse devient une fête d’amour .
Et puis nous avons tant conjugué nos présences
Que je ne puis vous voir sans que me chauffe l’âme
Vous êtes en mon esprit telle une lancinance
Vous restez pour toujours l’enchantement fait femme.
Que je ne puis vous voir sans que me chauffe l’âme
Vous êtes en mon esprit telle une lancinance
Vous restez pour toujours l’enchantement fait femme.
Voila ce qu’il fallait ma dame que je vous dise
En rimant car les vers sont un support plaisant
Profitons de la vie et de ses heures exquises
Pour cultiver l'amour aux accords bienfaisants.
En rimant car les vers sont un support plaisant
Profitons de la vie et de ses heures exquises
Pour cultiver l'amour aux accords bienfaisants.