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Poème Que faire en un confinement à moins que l’on y songe !

Peniculo

Grand poète
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#1
Que faire en un confinement
à moins que l’on y songe !


Je suis du peuple qui s’étonne
Que la France manqua de moyens
Lorsqu’une politique conne
Priva la santé de ses biens

Le simple d’esprit c’est notoire
Devenant un politicien
Économise pour faire croire
Que la santé n’est pas un bien.

Ainsi privé de nos réserves
Les masques étant insuffisants
En déployant sa grande verve
Le pouvoir dit : ils sont manquants

Mais la bêtise c’est connue
Ne sachant ni voir ni prévoir
Laissa parler des trous du cul
Ignorant tout de leur devoir

Je suis du peuple que l’on pique
Si l’on peut trouver du vaccin
Car le seul débat politique
Ne rend pas le citoyen sain

Quand on ne prévoit pas les choses
On ne ment pas à tour de bras
Et quand la vérité s’impose
à quoi donc servent les débats

Que fit la grande politique
Quand l’enjeu devenu vital
On oublia le scientifique
Pour trop parler du coup fatal.

Le pile ou face des nantis
De sinécures nationales
Devrait exclure les apprentis
Qui se cachent quand vient le mal.

Je suis du peuple que l’on taxe
Puisque l’économie défaille
Il faudra bien conserver l’axe
Qui fournit toutes victuailles

On couvre l’échec d’un mot
Car rien ne fut décidé à temps
L’essentiel devint chameau
Dans un désert d’incompétents

Pas d’unité de temps de lieu
Et d’action dans l’entourage
Que tant d’élus pernicieux
Sans absolution se partagent

On ne se fait pas pardonner
En disant il aurait fallu
Et en venant carillonner
On n’efface pas les farfelus

D’ailleurs on ne reconnaît pas
Ses erreurs dans cette volaille
Qui à suivi le bel appât
De la politique pagaille

Elle change de position
Ne trouvant qu’une autorité
Qui néglige la protection
Qui rabote les libertés

Mais d’une façon homogène
Sans indulgence maladroite
Les tolérances endogènes
Font les diables sortir de boite.

Je suis de ces citoyens sots
Que la santé publique prive
Du vaccin et de son fuseau
Et dure mon expectative

De téléphones abondants
En attentes informatiques
On me dit que dans quelques temps
J’aurai ma potion magique

Et puis voyez comme c’est étrange
Les virus ont progénitures
Incluant possibles mélanges
Attendant un sauveur futur ?

Car la science qui se fout
De la banale politique
Cherche celui qui règle tout
Sa vérité est méthodique.

Et s’en vient Scapin qui rigole
En me disant mon cher ami
Des vaccins on fait farandole
Mais sans masque rien n’est permis

Je suis de ces contemplateurs
Qui se soucient de la jeunesse
Et qui voudrait que son bonheur
Ne soit pas condamné au stress.

Et je suis devenu sceptique
Sur l’utilité politique
Tous les élus sont pandémiques
Et ont des neurones anémiques.

Il faudrait donc que vienne vers nous
Un essentiel naviguant
Qui sans prétendre traiter tout
Sache barrer par tous les temps.

Je suis ce ceux qui jugeront
Avec une rudesse extrême
Les républicains qui voudront
Gouverner ce pays que j’aime.

Je voterai blanc s’il le faut
En disant vos échantillons
Font un bien néfaste troupeau
Rejetez les au bouillon.









 
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#2
Que faire en un confinement
à moins que l’on y songe !


Je suis du peuple qui s’étonne
Que la France manqua de moyens
Lorsqu’une politique conne
Priva la santé de ses biens

Le simple d’esprit c’est notoire
Devenant un politicien
Économise pour faire croire
Que la santé n’est pas un bien.

Ainsi privé de nos réserves
Les masques étant insuffisants
En déployant sa grande verve
Le pouvoir dit : ils sont manquants

Mais la bêtise c’est connue
Ne sachant ni voir ni prévoir
Laissa parler des trous du cul
Ignorant tout de leur devoir

Je suis du peuple que l’on pique
Si l’on peut trouver du vaccin
Car le seul débat politique
Ne rend pas le citoyen sain

Quand on ne prévoit pas les choses
On ne ment pas à tour de bras
Et quand la vérité s’impose
à quoi donc servent les débats

Que fit la grande politique
Quand l’enjeu devenu vital
On oublia le scientifique
Pour trop parler du coup fatal.

Le pile ou face des nantis
De sinécures nationales
Devrait exclure les apprentis
Qui se cachent quand vient le mal.

Je suis du peuple que l’on taxe
Puisque l’économie défaille
Il faudra bien conserver l’axe
Qui fournit toutes victuailles

On couvre l’échec d’un mot
Car rien ne fut décidé à temps
L’essentiel devint chameau
Dans un désert d’incompétents

Pas d’unité de temps de lieu
Et d’action dans l’entourage
Que tant d’élus pernicieux
Sans absolution se partagent

On ne se fait pas pardonner
En disant il aurait fallu
Et en venant carillonner
On n’efface pas les farfelus

D’ailleurs on ne reconnaît pas
Ses erreurs dans cette volaille
Qui à suivi le bel appât
De la politique pagaille

Elle change de position
Ne trouvant qu’une autorité
Qui néglige la protection
Qui rabote les libertés

Mais d’une façon homogène
Sans indulgence maladroite
Les tolérances endogènes
Font les diables sortir de boite.

Je suis de ces citoyens sots
Que la santé publique prive
Du vaccin et de son fuseau
Et dure mon expectative

De téléphones abondants
En attentes informatiques
On me dit que dans quelques temps
J’aurai ma potion magique

Et puis voyez comme c’est étrange
Les virus ont progénitures
Incluant possibles mélanges
Attendant un sauveur futur ?

Car la science qui se fout
De la banale politique
Cherche celui qui règle tout
Sa vérité est méthodique.

Et s’en vient Scapin qui rigole
En me disant mon cher ami
Des vaccins on fait farandole
Mais sans masque rien n’est permis

Je suis de ces contemplateurs
Qui se soucient de la jeunesse
Et qui voudrait que son bonheur
Ne soit pas condamné au stress.

Et je suis devenu sceptique
Sur l’utilité politique
Tous les élus sont pandémiques
Et ont des neurones anémiques.

Il faudrait donc que vienne vers nous
Un essentiel naviguant
Qui sans prétendre traiter tout
Sache barrer par tous les temps.

Je suis ce ceux qui jugeront
Avec une rudesse extrême
Les républicains qui voudront
Gouverner ce pays que j’aime.

Je voterai blanc s’il le faut
En disant vos échantillons
Font un bien néfaste troupeau
Rejetez les au bouillon.









Bravo pour cet écrit auquel j'adhère
Gaby
 

angefragile

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#4
Allons enfants de la Patrie
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras.
Égorger vos fils, vos compagnes!

Aux armes et cætera...
 

CLARI

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#5
Je suis tout à fait d'accord !
Bravo pour le débit !
 

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