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R émi, tu es parti rejoindre ta maman
E n cette belle journée de printemps
M ais pour toi le destin fut tragique
I l t'a enlevé à l'affection des tiens
Toi qui était si dynamique et si gentil
U ne fin si cruelle tu ne la méritais pas
E ntends tu les sanglots de tes frère et sœur ?
S euls, maintenant, ils pleurent leur grand frère
P eux tu imaginer la douleur de ton papa ?
A ce coup du sort il se remettra difficilement
R émi, tu avais une grande ambition
T u t'adonnais à tout moment à ton passe temps
I l se nommait kendama et tu en étais un artiste
R émi, tout le monde t'aimait et te pleure
E t si tu avais touché à plusieurs métiers
J e crois que ton art était une vocation
O ù tu t'épanouissais, souhaitant devenir professionnel
I l t'arrivait d'en faire des démonstrations
N e voulais tu pas fabriquer tes propres jeux ?
D ans ta dernière demeure ils t'accompagnent
R este le souvenir de ta bonne humeur
E t tes rires résonneront encore longtemps
T a maman, de là haut, était fière
A vec amour elle va accueillir son fils aîné
M algré le chagrin qui nous accable
A ujourd'hui nous pensons à ta sérénité.
M artin et Joséphine ne pourrons t'oublier
A jamais, toi, ce grand frère bien aimé.
N ous serons toujours près de toi par la pensée
Texte qui sera lu à l'église demain lundi
E n cette belle journée de printemps
M ais pour toi le destin fut tragique
I l t'a enlevé à l'affection des tiens
Toi qui était si dynamique et si gentil
U ne fin si cruelle tu ne la méritais pas
E ntends tu les sanglots de tes frère et sœur ?
S euls, maintenant, ils pleurent leur grand frère
P eux tu imaginer la douleur de ton papa ?
A ce coup du sort il se remettra difficilement
R émi, tu avais une grande ambition
T u t'adonnais à tout moment à ton passe temps
I l se nommait kendama et tu en étais un artiste
R émi, tout le monde t'aimait et te pleure
E t si tu avais touché à plusieurs métiers
J e crois que ton art était une vocation
O ù tu t'épanouissais, souhaitant devenir professionnel
I l t'arrivait d'en faire des démonstrations
N e voulais tu pas fabriquer tes propres jeux ?
D ans ta dernière demeure ils t'accompagnent
R este le souvenir de ta bonne humeur
E t tes rires résonneront encore longtemps
T a maman, de là haut, était fière
A vec amour elle va accueillir son fils aîné
M algré le chagrin qui nous accable
A ujourd'hui nous pensons à ta sérénité.
M artin et Joséphine ne pourrons t'oublier
A jamais, toi, ce grand frère bien aimé.
N ous serons toujours près de toi par la pensée
Texte qui sera lu à l'église demain lundi