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Reprenons au commencement.
Un philosophe diabolique
Qui étudiait chez Lucifer
Fit un beau discours satanique
Afin d’aliéner l’univers.
Obéissez viles planètes
C’est Satan qui à les savoirs
Il a acheté internet
L’ordinateur est un devoir.
Tout est dedans soyez ignares
Il vous suffit de pianoter
C’est inutile d’être geignard
Ou de chercher à ergoter
Et donc le monde devint sot
Internet fut la référence
Poser les doigts sur la piano
Devint l’unique connaissance.
L’abonnement était gratuit
Si l’on avait donné son âme
On pouvait cueillir tous les fruits
Dont Satan faisait la réclame.
Quelques cerveaux restant lucides
Déploraient l’humaine sottise
Craignant un futur homicide
Ils dénoncèrent la bêtise
Le grand architecte fut ému
De la misère cérébrale
Et il consulta le SAMU
Sur la démence générale.
Ayant recours à tous ceux qui
N’avaient pas renoncé aux livres
Qui ayant un savoir acquis
Avaient quelque plaisir à vivre
Il ressuscita des savants
Dont le renom étaient certain
Volt et ampère se déplaçant
Furent subtils autant qu’ opportuns
Et un matin ou Belzébuth
Sur internet prit le pouvoir
Le programme fit une culbute
Et les écrans devinrent tout noir
Le diable s’inquiéta alors
Qui rend à l’homme l’intelligence
Qui désormais n’est plus d’accord
Pour suivre la grande ignorance?
L’architecte dit au nuisible
Ta dictature n’aura plus cours
On a retiré les fusibles
À toi nul n’aura plus recours.
Je coupe l’électricité
Et tout est remis vous à zéro
La diabolique stupidité
Ne fera plus son numéro
Et Adam déclara à Ève
L’ordinateur n’est qu’un outil
C’est un serpent que l’on élève
Source de toute antipathie
Reprenons le cours pertinent
Et prudent de notre univers
Le cornu n’est plus dominant
Plus d’ordi donc plus de pervers!
Les poétiques écritures
Reprendront un cours plus normal
On y verra quelques ratures
Mais le style sera sans égal.
Un philosophe diabolique
Qui étudiait chez Lucifer
Fit un beau discours satanique
Afin d’aliéner l’univers.
Obéissez viles planètes
C’est Satan qui à les savoirs
Il a acheté internet
L’ordinateur est un devoir.
Tout est dedans soyez ignares
Il vous suffit de pianoter
C’est inutile d’être geignard
Ou de chercher à ergoter
Et donc le monde devint sot
Internet fut la référence
Poser les doigts sur la piano
Devint l’unique connaissance.
L’abonnement était gratuit
Si l’on avait donné son âme
On pouvait cueillir tous les fruits
Dont Satan faisait la réclame.
Quelques cerveaux restant lucides
Déploraient l’humaine sottise
Craignant un futur homicide
Ils dénoncèrent la bêtise
Le grand architecte fut ému
De la misère cérébrale
Et il consulta le SAMU
Sur la démence générale.
Ayant recours à tous ceux qui
N’avaient pas renoncé aux livres
Qui ayant un savoir acquis
Avaient quelque plaisir à vivre
Il ressuscita des savants
Dont le renom étaient certain
Volt et ampère se déplaçant
Furent subtils autant qu’ opportuns
Et un matin ou Belzébuth
Sur internet prit le pouvoir
Le programme fit une culbute
Et les écrans devinrent tout noir
Le diable s’inquiéta alors
Qui rend à l’homme l’intelligence
Qui désormais n’est plus d’accord
Pour suivre la grande ignorance?
L’architecte dit au nuisible
Ta dictature n’aura plus cours
On a retiré les fusibles
À toi nul n’aura plus recours.
Je coupe l’électricité
Et tout est remis vous à zéro
La diabolique stupidité
Ne fera plus son numéro
Et Adam déclara à Ève
L’ordinateur n’est qu’un outil
C’est un serpent que l’on élève
Source de toute antipathie
Reprenons le cours pertinent
Et prudent de notre univers
Le cornu n’est plus dominant
Plus d’ordi donc plus de pervers!
Les poétiques écritures
Reprendront un cours plus normal
On y verra quelques ratures
Mais le style sera sans égal.
