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Te souviens- tu? C’était hier,
50 ans déjà, c’est çà
Te souviens- tu ? Ne sois pas fier,
C’était la route mon gars.
Non tu n’as pas changé, c’est seulement ton look,
Ton costume, ta cravate tu es toujours un plouc,
Mais quand tous ces vieux airs, reviennent sur tes lèvres,
Dans tes yeux on voit encore briller tes rêves.
Le bitume sous tes chaussures,
Te retenait, c’est c’la,
Et avec ta drôle d’allure,
Et ta chemise à pois.
Non tu n’as pas changé, lorsque le verre en main,
Ta cravate dénouée, tu te fous du lendemain.
Tu te fous du business, quand la guitare fébrile,
Répond aux sentiments de tes dix doigts habiles.
Tu refaisais le monde,
Tu refusais l’armée,
La guerre c’était immonde,
Il n’fallait plus voter.
Non tu n’as pas changé, toujours aussi naïf,
Même si sur ta tête, il n’y a plus un tif,
Mais il t’en faut peu mon gars pour te ‘réveiller,
Tes sentiments de môme ne sont pas émoussés.
Tous ces hommes politiques,
Ils ont fait des enfants,
les ont nourrit au fric
Ont aiguisé leurs dents.
Non ! Gars ! Rien n’a changé, le pauvre n’est pas riche,
Son capital, il l’a au cœur, il l’a aux tripes,
Il fait crier à sa guitare tant de rires et de pleurs.
L’asphalte n’a pas de prise pour les pieds du chanteur.
Non gars ! Rien ne change, l’eau coule dans le ruisseau,
Les notes frôlent les cordes, la vie des hommes c’est beau.
Le temps d’une soirée, reviens à ces vieux temps,
Avant que soit l’hiver, revit donc tes printemps.
50 ans déjà, c’est çà
Te souviens- tu ? Ne sois pas fier,
C’était la route mon gars.
Non tu n’as pas changé, c’est seulement ton look,
Ton costume, ta cravate tu es toujours un plouc,
Mais quand tous ces vieux airs, reviennent sur tes lèvres,
Dans tes yeux on voit encore briller tes rêves.
Le bitume sous tes chaussures,
Te retenait, c’est c’la,
Et avec ta drôle d’allure,
Et ta chemise à pois.
Non tu n’as pas changé, lorsque le verre en main,
Ta cravate dénouée, tu te fous du lendemain.
Tu te fous du business, quand la guitare fébrile,
Répond aux sentiments de tes dix doigts habiles.
Tu refaisais le monde,
Tu refusais l’armée,
La guerre c’était immonde,
Il n’fallait plus voter.
Non tu n’as pas changé, toujours aussi naïf,
Même si sur ta tête, il n’y a plus un tif,
Mais il t’en faut peu mon gars pour te ‘réveiller,
Tes sentiments de môme ne sont pas émoussés.
Tous ces hommes politiques,
Ils ont fait des enfants,
les ont nourrit au fric
Ont aiguisé leurs dents.
Non ! Gars ! Rien n’a changé, le pauvre n’est pas riche,
Son capital, il l’a au cœur, il l’a aux tripes,
Il fait crier à sa guitare tant de rires et de pleurs.
L’asphalte n’a pas de prise pour les pieds du chanteur.
Non gars ! Rien ne change, l’eau coule dans le ruisseau,
Les notes frôlent les cordes, la vie des hommes c’est beau.
Le temps d’une soirée, reviens à ces vieux temps,
Avant que soit l’hiver, revit donc tes printemps.