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Rêver n'étant pas encore imposable....
Dans un pays lointain dont je tairai le nom
Des contradictions faussaient la gouvernance
Des imposables hélas on pressait le citron
Mais les finances jamais avaient juste balance
Il eut fallu bien sûr de justes compétences
Qui sachent modérer trop de soustractions
Et les équilibrants avec les additions
Arrêter de taxer jusqu'à l'intolérance
Le monde pensant peu fuit les mathématiques
Les chiffres chiffonnaient tous les gouvernements
Aucun comptable étant bon homme politique
L'état ne recrutait que des incompétents
Nul n'avait jusqu'alors posé cette question
Qui profite à l'excès des euros qui nous manquent
Un malin suggéra que la situation
Venait de sinécures qui puisaient dans les banques
Alors on recourut aux arts mathématiques
Pour savoir si l'argent qui ne doit rien sentir
N'était pas destiné aux fainéants chroniques
Qui de la politique savaient bien se servir
On vit des inutiles et même des néfastes
Recevant des euros sans justification
Des assistés chroniques se regroupant en castes
Qui ne servant à rien gangrenaient la nation
Bien sur il eut fallu purger tout le système
Éliminer les riens qui nous coutaient beaucoup
Mais le flot politique évitant l'anathème
Ne désignait jamais les voleurs les filous
Et les gouvernements trop mous qui se suivirent
Étaient en ces affaires quelque peu responsables
Dans la démocratie il faudrait pouvoir dire
Au peuple sans mentir qui le fait corvéable.
Il fallait donc compter et ne plus discourir
Car les partis trompaient par de vaines paroles
Trouver des solutions dont nul n'ait à pâtir
Ne plus croire que bonheur rime avec carmagnole
Le monde étant complexe il nous faudra choisir
Entre les logorrhées des hommes politiques
Et ceux qui au pouvoir sauraient enfin choisir
L’intérêt de la France et de la république.
Dans un pays lointain dont je tairai le nom
Des contradictions faussaient la gouvernance
Des imposables hélas on pressait le citron
Mais les finances jamais avaient juste balance
Il eut fallu bien sûr de justes compétences
Qui sachent modérer trop de soustractions
Et les équilibrants avec les additions
Arrêter de taxer jusqu'à l'intolérance
Le monde pensant peu fuit les mathématiques
Les chiffres chiffonnaient tous les gouvernements
Aucun comptable étant bon homme politique
L'état ne recrutait que des incompétents
Nul n'avait jusqu'alors posé cette question
Qui profite à l'excès des euros qui nous manquent
Un malin suggéra que la situation
Venait de sinécures qui puisaient dans les banques
Alors on recourut aux arts mathématiques
Pour savoir si l'argent qui ne doit rien sentir
N'était pas destiné aux fainéants chroniques
Qui de la politique savaient bien se servir
On vit des inutiles et même des néfastes
Recevant des euros sans justification
Des assistés chroniques se regroupant en castes
Qui ne servant à rien gangrenaient la nation
Bien sur il eut fallu purger tout le système
Éliminer les riens qui nous coutaient beaucoup
Mais le flot politique évitant l'anathème
Ne désignait jamais les voleurs les filous
Et les gouvernements trop mous qui se suivirent
Étaient en ces affaires quelque peu responsables
Dans la démocratie il faudrait pouvoir dire
Au peuple sans mentir qui le fait corvéable.
Il fallait donc compter et ne plus discourir
Car les partis trompaient par de vaines paroles
Trouver des solutions dont nul n'ait à pâtir
Ne plus croire que bonheur rime avec carmagnole
Le monde étant complexe il nous faudra choisir
Entre les logorrhées des hommes politiques
Et ceux qui au pouvoir sauraient enfin choisir
L’intérêt de la France et de la république.