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Tous les jours je pense
Je pense à il, je pense à elle
Je pense à lui, je pense à celle
Je pense à ma, et puis cela
Je pense à mon, je pense à on
Et parfois je pense à tout ça
Et je ressent un grand effroi
Ne plus s’arrêter de songer
Mène moi donc jusqu’au bûcher
D’une conscience trop prolixe
Des idées sombres qui se fixent
Et jouent au cœur un jeu de dé
Si par malheur ils retombent
Dans le doute de l’impiété
Dans la chaos de la pénombre
Tes raisons vont alors vaguer
Cela durera quelques secondes
Laisse donc l’orage passé
Que la sentence soit prononcé
Se tord le corps et coeur noué
On ne refera pas le monde
Respire et sent l’air couler
Puis reprend la route tortueuse
Des chemins de l’âme rêveuse
Et laisse de nouveau porté
La beauté des simples pensées
Tu penses à il, tu penses à elle
Tu penses à ça et puis cela
Tu penses à toi, tu penses à eux…
Je pense à il, je pense à elle
Je pense à lui, je pense à celle
Je pense à ma, et puis cela
Je pense à mon, je pense à on
Et parfois je pense à tout ça
Et je ressent un grand effroi
Ne plus s’arrêter de songer
Mène moi donc jusqu’au bûcher
D’une conscience trop prolixe
Des idées sombres qui se fixent
Et jouent au cœur un jeu de dé
Si par malheur ils retombent
Dans le doute de l’impiété
Dans la chaos de la pénombre
Tes raisons vont alors vaguer
Cela durera quelques secondes
Laisse donc l’orage passé
Que la sentence soit prononcé
Se tord le corps et coeur noué
On ne refera pas le monde
Respire et sent l’air couler
Puis reprend la route tortueuse
Des chemins de l’âme rêveuse
Et laisse de nouveau porté
La beauté des simples pensées
Tu penses à il, tu penses à elle
Tu penses à ça et puis cela
Tu penses à toi, tu penses à eux…