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Si par hasard cela évoque des classiques…….
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit.
Je rêvais qu’on allait entrer en harmonie
Mais quand la vérité devant moi s’est montrée,
Je vis la république étrangement parée.
Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté;
Et bien qu’elle ait voté en ayant hésité
Elle allait supporter les différents dommages
Aggravant du passé les divers cafouillages.
Et les nombreux partis voulant faire la loi
Du trouble général on entendit la voix.
à moi coq national dis moi en quelques mots
Pourquoi les politiques n’ont rien sous le chapeau
Pourquoi de nos anciens on n’a plus les vertus
La vaillance et l’honneur auraient-ils disparu.
La jeunesse souvent qui se prétend bien née
N’a point l’expérience acquise par les années
Son zèle prétendu est quelques fois bien vain
Elle gère sans talent le présent et demain .
Et au bruit d’un seul nom si l’on espère un roi
L’expérience fit qu’on s’en mordit les doigts.
Alors des prétendants remuant leur crécelle
Firent de la république un insensé bordel
Prétendant revenir aux valeurs plus humaines
De la fraternité ils conçurent la haine.
Ils promettaient un vent favorable à nos voiles
Peignant de tout futur une idyllique toile.
Mais leurs intentions qui se disaient de fer
Étaient des utopies conduisant vers l’enfer
Un Caïn politique verbeux mais sans valeur
D’un œil mathématique dégradait nos valeurs.
Je rêvais qu’on allait entrer en harmonie
Mais quand la vérité devant moi s’est montrée,
Je vis la république étrangement parée.
Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté;
Et bien qu’elle ait voté en ayant hésité
Elle allait supporter les différents dommages
Aggravant du passé les divers cafouillages.
Et les nombreux partis voulant faire la loi
Du trouble général on entendit la voix.
à moi coq national dis moi en quelques mots
Pourquoi les politiques n’ont rien sous le chapeau
Pourquoi de nos anciens on n’a plus les vertus
La vaillance et l’honneur auraient-ils disparu.
La jeunesse souvent qui se prétend bien née
N’a point l’expérience acquise par les années
Son zèle prétendu est quelques fois bien vain
Elle gère sans talent le présent et demain .
Et au bruit d’un seul nom si l’on espère un roi
L’expérience fit qu’on s’en mordit les doigts.
Alors des prétendants remuant leur crécelle
Firent de la république un insensé bordel
Prétendant revenir aux valeurs plus humaines
De la fraternité ils conçurent la haine.
Ils promettaient un vent favorable à nos voiles
Peignant de tout futur une idyllique toile.
Mais leurs intentions qui se disaient de fer
Étaient des utopies conduisant vers l’enfer
Un Caïn politique verbeux mais sans valeur
D’un œil mathématique dégradait nos valeurs.
Que les temps sont changés sitôt que d’un grand jour
On annonçait des urnes un potentiel retour
Le peuple allant voter servait une république
Qui allait gouverner d’une façon logique
Espérant du progrès récolter quelques fruits
Sans sottes prétentions répandues à grand bruit
On ne concevait pas d’inutiles sacrifices
Ni de l’incompétence un flot de maléfices
Espérant qu’un élu amoureux de la France
Réponde à ses souhaits et à ses espérances.
On annonçait des urnes un potentiel retour
Le peuple allant voter servait une république
Qui allait gouverner d’une façon logique
Espérant du progrès récolter quelques fruits
Sans sottes prétentions répandues à grand bruit
On ne concevait pas d’inutiles sacrifices
Ni de l’incompétence un flot de maléfices
Espérant qu’un élu amoureux de la France
Réponde à ses souhaits et à ses espérances.
Courage, enfants déchus que les temps assassinent
Vous porterez toujours vos grandes origines
Il faut en la raison voir ce qu’elle a de mieux
En étant du futur un peu plus soucieux
Choisissez vos demains en comptant sur vous-même
Laissez aux politiques mensonges et blasphème;
Dédaignez les promesses que l’on ne teindra pas
Le bonheur ne peut être où la vertu n’est pas.
Venez reprendre rang en cherchant la lumière
Osez faire des choix dont la France soit fière.
Vous porterez toujours vos grandes origines
Il faut en la raison voir ce qu’elle a de mieux
En étant du futur un peu plus soucieux
Choisissez vos demains en comptant sur vous-même
Laissez aux politiques mensonges et blasphème;
Dédaignez les promesses que l’on ne teindra pas
Le bonheur ne peut être où la vertu n’est pas.
Venez reprendre rang en cherchant la lumière
Osez faire des choix dont la France soit fière.