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Poème Sort qui roule quand Satan pousse (érotico-rigolard)

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#1
Sort qui roule quand Satan pousse


En Berry les sorcières se plaisant à l’étude
Apprennent avec soin des quantités de sorts
Qui leur donnent souvent la parfaite aptitude
Aux intenses désirs ainsi qu’aux joies du corps


C’est dans le grand Albert ouvrage diabolique
Qu’avant l’expérience s’acquiert quelque savoir
La grande dévotion au pouvoir satanique
N’exclut pas l’’érotisme et ses plaisants devoirs


Une jeune lascive diplômée récemment
Voulant participer au grand concours lubrique
Se dit il me faudrait découvrir un amant
Galamment adapté à mon chat boulimique


Car il faut bien le dire avec des sort précis
La fille n’avait pas une nature banale
Son trésor par ses charmes avait assez grossi
Pour être d’une taille assez phénoménale


L’amant qu’elle choisit avait quelque beauté
Mais sa chose virile était de tradition
Qu’il soit habile ou non du plaisir enchanté
Elle voulut changer toutes dimensions


Donc lui jetant un sort convenant à la chose
Elle multiplia la largeur la longueur
L’organe parvint ainsi à une apothéose
Convenant à la dame au trop vaste bonheur.


Elle gagna bien sûr le grand concours lubrique
Et étant généreuse elle prêta son amant
Á quelques concurrentes refusant sa pratique
Pour éviter le risque d’un sot déchirement


L’amant ayant servi à sa belle victoire
Ne l’intéressant plus il put enfin partir
Mais ne pouvant garder cette excessive gloire
Il dit à la sorcière que vais je devenir


Vous me fîtes un outil qui n’est plus présentable
Toute dame enflammée pousserait un grand cri
En voyant ma nature tellement dilatable
Que nul abri humain ne peut lui convenir.


La sorcière qui était méchante sans excès
Lui dit puisque vous me rendîtes délectable service
Je vais vous ramener sur la voie du succès
Par formule magique calmant le maléfice


Et lorsque vous direz « nature adapte-toi »
Vous aurez la moitié de l’outil diabolique
Qui gagna le concours pour ma plus grande joie
Et encore la moitié par une autre réplique.


L’amant fit un essai cela marcha très bien
La phrase deux fois dite faisait la chose humaine
Apportant à des dames un fort plaisant soutien
Par habitude servant souvent dans la semaine


Donc le quart de ce qui plaisait à la sorcière
Convenait à montrer un humain sentiment
Mais la dame à balai de son sort étant fière
Venait se resservir quelques fois nuitamment


Elle partait disant rétrécissez vous même
Les dames de chez vous ont le trésor banal
Votre quart cher monsieur me mettrait en carême
Une sorcière ne veut pas d’étreintes frugales.


Bref tout était parfait croissance et décroissance
Rythmaient le quotidien du doux concupiscent
Il fallut un malheur d’une grande importance
Pour qu’au coït il soit bêtement réticent.


Alors qu’il s’apprêtait à recevoir Vénus
Et qu’il allait réduire sa grande académie
Il eut un bégaiement qui fit de son phallus
Le demi du demi du demi du demi


La chose devenant quantité négligeable
Il dit à Belzébuth faites donc quelques chose
Mais le diable qui est rarement agréable
Lui dit débrouillez vous je n’en suis pas la cause !
 

Saoirse

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#2
2, 4, 8, 16 voilà une progression qui parle à mon âme de codeuse. Si la sorcière a eut une descendance, ce qui vu son enthousiasme pour les étreintes charnelles n'est pas à exclure, il est probable qu'on la retrouve dans l'arbre généalogique de lady Ada Lovelace ou de Grace Hopper :)
 
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#3
Sort qui roule quand Satan pousse


En Berry les sorcières se plaisant à l’étude
Apprennent avec soin des quantités de sorts
Qui leur donnent souvent la parfaite aptitude
Aux intenses désirs ainsi qu’aux joies du corps


C’est dans le grand Albert ouvrage diabolique
Qu’avant l’expérience s’acquiert quelque savoir
La grande dévotion au pouvoir satanique
N’exclut pas l’’érotisme et ses plaisants devoirs


Une jeune lascive diplômée récemment
Voulant participer au grand concours lubrique
Se dit il me faudrait découvrir un amant
Galamment adapté à mon chat boulimique


Car il faut bien le dire avec des sort précis
La fille n’avait pas une nature banale
Son trésor par ses charmes avait assez grossi
Pour être d’une taille assez phénoménale


L’amant qu’elle choisit avait quelque beauté
Mais sa chose virile était de tradition
Qu’il soit habile ou non du plaisir enchanté
Elle voulut changer toutes dimensions


Donc lui jetant un sort convenant à la chose
Elle multiplia la largeur la longueur
L’organe parvint ainsi à une apothéose
Convenant à la dame au trop vaste bonheur.


Elle gagna bien sûr le grand concours lubrique
Et étant généreuse elle prêta son amant
Á quelques concurrentes refusant sa pratique
Pour éviter le risque d’un sot déchirement


L’amant ayant servi à sa belle victoire
Ne l’intéressant plus il put enfin partir
Mais ne pouvant garder cette excessive gloire
Il dit à la sorcière que vais je devenir


Vous me fîtes un outil qui n’est plus présentable
Toute dame enflammée pousserait un grand cri
En voyant ma nature tellement dilatable
Que nul abri humain ne peut lui convenir.


La sorcière qui était méchante sans excès
Lui dit puisque vous me rendîtes délectable service
Je vais vous ramener sur la voie du succès
Par formule magique calmant le maléfice


Et lorsque vous direz « nature adapte-toi »
Vous aurez la moitié de l’outil diabolique
Qui gagna le concours pour ma plus grande joie
Et encore la moitié par une autre réplique.


L’amant fit un essai cela marcha très bien
La phrase deux fois dite faisait la chose humaine
Apportant à des dames un fort plaisant soutien
Par habitude servant souvent dans la semaine


Donc le quart de ce qui plaisait à la sorcière
Convenait à montrer un humain sentiment
Mais la dame à balai de son sort étant fière
Venait se resservir quelques fois nuitamment


Elle partait disant rétrécissez vous même
Les dames de chez vous ont le trésor banal
Votre quart cher monsieur me mettrait en carême
Une sorcière ne veut pas d’étreintes frugales.


Bref tout était parfait croissance et décroissance
Rythmaient le quotidien du doux concupiscent
Il fallut un malheur d’une grande importance
Pour qu’au coït il soit bêtement réticent.


Alors qu’il s’apprêtait à recevoir Vénus
Et qu’il allait réduire sa grande académie
Il eut un bégaiement qui fit de son phallus
Le demi du demi du demi du demi


La chose devenant quantité négligeable
Il dit à Belzébuth faites donc quelques chose
Mais le diable qui est rarement agréable
Lui dit débrouillez vous je n’en suis pas la cause !
De géant à minus la pilule fut amère
Mais j'ai apprécié ma lecture
 

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