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Soucis familiaux !
La politique est terne et puis le temps est gris
Le rire est en exode et les gens sont aigris
Je ne vois qu’une chose qui ce jour m’intéresse :
Ma chère parlons d’amour mais plutôt coté fesses.
Vous me pensez trop vieux peu encyclopédique
Mais j’ai quelques lueurs sur les jeux érotiques
Et il vous suffirait d’y mettre un peu du vôtre
Pour me voir converti en fanatique apôtre.
Commençons tout d’abord par de chastes baisers
Qu’une envie simplement se plaît à apaiser
Et puis si vous vouliez oublier vos manières
J’oserai visiter votre intime clairière.
Car je garde en l’idée que votre monticule
Aimerait d’un gourmand la douceur majuscule
Et que de vos saveurs ému jusqu’à l’extrême
De toute chasteté je ferais l’anathème.
Vous pourriez s’il vous plaît guider mon insistance
Sur les exploits plaisant à votre préférence
Et me signaler quand ravi des préambules
Je devrais commencer la chose majuscule
N’ayez point de pudeur dans la diversité
Chacun peut désirer un peu d’autorité
Et s’il vous est plaisant de dominer la chose
Cherchez en surplombant l’extrême apothéose
Mais si en dominant vous vouliez diriger
Mes modes et mes rythmes pour vous mieux obliger
Osez le préciser ayez des exigences
Au féminin ma chère on doit la préséance.
Si le sommet atteint vous paraît délectable
Qu’il puisse se doubler d’une insistance aimable
Je serai enchanté de répéter l’ardeur
Des parcours qui du corps provoque le bonheur.
Puis si vous me trouviez paresseux à l’usage
Il vous faudrait ma chère faire revenir l’orage
Et savoir inciter ma plaisante nature
Par quelques jeux secrets à la désinvolture
Soyez persuasive et quelque peu volage
Montrez votre pouvoir de relancer l’orage
Et vous retrouverez ce plaisant appétit
Qui fait qu’à vos désirs je suis assujetti.
Si vous n’étiez ma chère élégamment comblée
Vous m’en verriez déçu désolé accablé
Car tout ce que je sais d’Éros de ses ardeurs
C’est madame votre mère qui fut mon professeur !
Il est dit qu’en vieux pot se fait soupe meilleure
Mais quelques jeunes corps sont de grands affameurs
Et vous avez le don d’étreintes habiles et vives
Pour enchanter l’amant dont l’envie est captive.
Si vous le voulez bien alternons les hommages
Votre mère me montrant la science de l’âge
Vous bénéficieriez des ses charmants savoirs
Quand à votre jeunesse iraient tous mes devoirs
Monsieur cela me semble un projet raisonnable
L’alternance des jeux est bien souvent aimable
Or vous sentant zélé et apte a réjouir
J’ai aussi ma cousine qu’il faut épanouir .
J’exauçais les demandes des cousines des tantes
Et la famille étant diablement importante
Je mourus épuisé de trop nombreux efforts
Quantité qualité n’étant pas en accord.
La politique est terne et puis le temps est gris
Le rire est en exode et les gens sont aigris
Je ne vois qu’une chose qui ce jour m’intéresse :
Ma chère parlons d’amour mais plutôt coté fesses.
Vous me pensez trop vieux peu encyclopédique
Mais j’ai quelques lueurs sur les jeux érotiques
Et il vous suffirait d’y mettre un peu du vôtre
Pour me voir converti en fanatique apôtre.
Commençons tout d’abord par de chastes baisers
Qu’une envie simplement se plaît à apaiser
Et puis si vous vouliez oublier vos manières
J’oserai visiter votre intime clairière.
Car je garde en l’idée que votre monticule
Aimerait d’un gourmand la douceur majuscule
Et que de vos saveurs ému jusqu’à l’extrême
De toute chasteté je ferais l’anathème.
Vous pourriez s’il vous plaît guider mon insistance
Sur les exploits plaisant à votre préférence
Et me signaler quand ravi des préambules
Je devrais commencer la chose majuscule
N’ayez point de pudeur dans la diversité
Chacun peut désirer un peu d’autorité
Et s’il vous est plaisant de dominer la chose
Cherchez en surplombant l’extrême apothéose
Mais si en dominant vous vouliez diriger
Mes modes et mes rythmes pour vous mieux obliger
Osez le préciser ayez des exigences
Au féminin ma chère on doit la préséance.
Si le sommet atteint vous paraît délectable
Qu’il puisse se doubler d’une insistance aimable
Je serai enchanté de répéter l’ardeur
Des parcours qui du corps provoque le bonheur.
Puis si vous me trouviez paresseux à l’usage
Il vous faudrait ma chère faire revenir l’orage
Et savoir inciter ma plaisante nature
Par quelques jeux secrets à la désinvolture
Soyez persuasive et quelque peu volage
Montrez votre pouvoir de relancer l’orage
Et vous retrouverez ce plaisant appétit
Qui fait qu’à vos désirs je suis assujetti.
Si vous n’étiez ma chère élégamment comblée
Vous m’en verriez déçu désolé accablé
Car tout ce que je sais d’Éros de ses ardeurs
C’est madame votre mère qui fut mon professeur !
Il est dit qu’en vieux pot se fait soupe meilleure
Mais quelques jeunes corps sont de grands affameurs
Et vous avez le don d’étreintes habiles et vives
Pour enchanter l’amant dont l’envie est captive.
Si vous le voulez bien alternons les hommages
Votre mère me montrant la science de l’âge
Vous bénéficieriez des ses charmants savoirs
Quand à votre jeunesse iraient tous mes devoirs
Monsieur cela me semble un projet raisonnable
L’alternance des jeux est bien souvent aimable
Or vous sentant zélé et apte a réjouir
J’ai aussi ma cousine qu’il faut épanouir .
J’exauçais les demandes des cousines des tantes
Et la famille étant diablement importante
Je mourus épuisé de trop nombreux efforts
Quantité qualité n’étant pas en accord.
