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(public averti)
En ces jours de manque affectifs
Je me souviens de ses caresses
Quand ses mains glissaient sur mes fesses,
C'était prévisible, instinctif.
Je le savais si attentif
Je prenais tout de sa tendresse.
Il savait combler sa diablesse
Quand il plongeait de tout ton if
Surtout quand j'écartais les cuisses
Pour chevaucher mon bel Ulysse
Qui allait faire un beau voyage.
Attachée au mât de son corps
Son front sur moi perlait, en nage,
Je lui soufflais ce mot ; encore !
Arthémis
le 14 Mars
Copyright
En ces jours de manque affectifs
Je me souviens de ses caresses
Quand ses mains glissaient sur mes fesses,
C'était prévisible, instinctif.
Je le savais si attentif
Je prenais tout de sa tendresse.
Il savait combler sa diablesse
Quand il plongeait de tout ton if
Surtout quand j'écartais les cuisses
Pour chevaucher mon bel Ulysse
Qui allait faire un beau voyage.
Attachée au mât de son corps
Son front sur moi perlait, en nage,
Je lui soufflais ce mot ; encore !
Arthémis
le 14 Mars
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