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Les feuillent jaunissent et craquent,
Voici l’automne qui débarque.
Porte de la solitude qui s’entrebâille,
Libère les secrets de ses entrailles.
Écouter dans l'interminable silence,
Les soupirs de l’âme en décadence,
Les voix de l'au-delà,
Les plaintes du triste glas.
Notre paysage, devient blafard,
Inconnu à notre regard.
L'âme se retrouve prisonnière
Du silence qui l’enserre.
Silence rompu par le son du parquet,
Qui craque sous les pieds.
Sur les vieux meubles de la maison,
On lit le regret de leur belle saison.
Dans la cheminée,les plaintes de la bûche
Qui crépite, se consume, trébuche.
Sous la caresse des flammes,
S'envolent les soupirs de l’âme.
Voici l’automne qui débarque.
Porte de la solitude qui s’entrebâille,
Libère les secrets de ses entrailles.
Écouter dans l'interminable silence,
Les soupirs de l’âme en décadence,
Les voix de l'au-delà,
Les plaintes du triste glas.
Notre paysage, devient blafard,
Inconnu à notre regard.
L'âme se retrouve prisonnière
Du silence qui l’enserre.
Silence rompu par le son du parquet,
Qui craque sous les pieds.
Sur les vieux meubles de la maison,
On lit le regret de leur belle saison.
Dans la cheminée,les plaintes de la bûche
Qui crépite, se consume, trébuche.
Sous la caresse des flammes,
S'envolent les soupirs de l’âme.