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Quand la lumière des étoiles,
Sur nous dépose son voile,
Me prend la folle envie,
De te consommer ma mie.
Au jardin de tes merveilles,
Ton sourire m’accueille,
Et tout autour de sa nature
Ton cœur, ta belle allure.
Mon rêve de chaque nuit,
Visiter toute la charmille,
Des beautés de ton corps,
Étancher la soif de ton trésor.
Atteindre les douces collines,
Les rondeurs de ta poitrine,
Taquiner du bout des doigts,
Tes deux tétons qui choient.
Pour me faire pardonner,
De mes lèvres acharnées,
Y déposer de délicats baisers,
Qui allument ton brasier.
Continuer ma route,
Descendre sans déroute,
Atteindre le buisson touffu,
Où se niche ton abricot velu.
L'antre de tous les trésors,
De la chaleur de ton corps,
De mes désirs charnels,
M'agripper à tes mamelles.
En douceur, y descendre,
Je te sens frémir ma tendre,
Dans les étreintes corporelles,
De tous nos accords charnels.
Le plaisir nous gagne,
De nos regards, on se lorgne,
Glissade des corps qui chavirent,
Font l'écho de nos soupirs.
Ma bouche s’empresse,
Amoureusement, t’embrasse,
Qu'il est doux de t'aimer, te désirer,
Toi source du bonheur qui me fait pleurer.
Sur nous dépose son voile,
Me prend la folle envie,
De te consommer ma mie.
Au jardin de tes merveilles,
Ton sourire m’accueille,
Et tout autour de sa nature
Ton cœur, ta belle allure.
Mon rêve de chaque nuit,
Visiter toute la charmille,
Des beautés de ton corps,
Étancher la soif de ton trésor.
Atteindre les douces collines,
Les rondeurs de ta poitrine,
Taquiner du bout des doigts,
Tes deux tétons qui choient.
Pour me faire pardonner,
De mes lèvres acharnées,
Y déposer de délicats baisers,
Qui allument ton brasier.
Continuer ma route,
Descendre sans déroute,
Atteindre le buisson touffu,
Où se niche ton abricot velu.
L'antre de tous les trésors,
De la chaleur de ton corps,
De mes désirs charnels,
M'agripper à tes mamelles.
En douceur, y descendre,
Je te sens frémir ma tendre,
Dans les étreintes corporelles,
De tous nos accords charnels.
Le plaisir nous gagne,
De nos regards, on se lorgne,
Glissade des corps qui chavirent,
Font l'écho de nos soupirs.
Ma bouche s’empresse,
Amoureusement, t’embrasse,
Qu'il est doux de t'aimer, te désirer,
Toi source du bonheur qui me fait pleurer.
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