Hors ligne
Suivre la route des yeux
Aller vers ce qui est mieux
Laisser les champs rocailleux
Les églises et tous les pieux
Libre de choisir le mieux
Abandonner les envieux
Insoumis à tous les dieux
Aux chants, aux sons mélodieux
Être un poète silencieux
Devant tous ces courageux
Tous ces serpents venimeux
En mémoire de nos aïeux
Libérateurs et glorieux
Grands combattants victorieux
Sur les chemins caillouteux
Provocateurs, séditieux
Je cherche mon chemin sur cette route
Cette route, aux virages, aux doutes
Les pas que je fais sont mes inspirations
Pas une fatalité, mais une belle vision
Que mes mots parcourent cette route
Que mes maux s’effacent sans doute
J’ai tellement marché et usé mes souliers
J’ai tellement pensé et usé les sentiers
Comme un hiver qui n’en finit pas
Une saison qui ne s’arrête pas
Des maisons avec des blanc toits
Fument les cheminées de bois
Cette nature est mon paradis
Là où je veux finir ma vie
M’éteindre doucement en paix
A côté de l’âtre réchauffé
Je veux peindre dans mes poésies
Les mots colorés à l’infini
Je veux éteindre le soir la bougie
A la douce chaleur de la nuit
Rêver de tes mains apaisantes
De tes belles pensées avenantes
De ta présence enrichissante
De ta positivité immanente
*´¨)
¸. •´¸. •´¨) ¸. •*¨)
(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
Aller vers ce qui est mieux
Laisser les champs rocailleux
Les églises et tous les pieux
Libre de choisir le mieux
Abandonner les envieux
Insoumis à tous les dieux
Aux chants, aux sons mélodieux
Être un poète silencieux
Devant tous ces courageux
Tous ces serpents venimeux
En mémoire de nos aïeux
Libérateurs et glorieux
Grands combattants victorieux
Sur les chemins caillouteux
Provocateurs, séditieux
Je cherche mon chemin sur cette route
Cette route, aux virages, aux doutes
Les pas que je fais sont mes inspirations
Pas une fatalité, mais une belle vision
Que mes mots parcourent cette route
Que mes maux s’effacent sans doute
J’ai tellement marché et usé mes souliers
J’ai tellement pensé et usé les sentiers
Comme un hiver qui n’en finit pas
Une saison qui ne s’arrête pas
Des maisons avec des blanc toits
Fument les cheminées de bois
Cette nature est mon paradis
Là où je veux finir ma vie
M’éteindre doucement en paix
A côté de l’âtre réchauffé
Je veux peindre dans mes poésies
Les mots colorés à l’infini
Je veux éteindre le soir la bougie
A la douce chaleur de la nuit
Rêver de tes mains apaisantes
De tes belles pensées avenantes
De ta présence enrichissante
De ta positivité immanente
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