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En écho au poème de Sentimentale: Dans ce lit
Sur ce lit, me glisser près de toi,
Dans ces doux draps de soie,
Ma tendre, ma douce, ma lapine,
Effeuiller ta fleur, ton étoile, ta lune.
Te souffler des baisers
Sur tes lèvres si sucrées,
Eveiller tous nos émois
Envahis d'Amour Roi.
Frissonnants d'ivresse,
Nos bouches se pressent,
Sous ta nuisette de satin,
Ma main cherche tes seins,
Qui se tendent et se dressent
A bout de patience,
Mes mains, d’un coup,
Ouvrent ton corsage doux.
M'offrent tes formes rondes
Tour à tour ma bouche gourmande
S'empare de tes formes divines,
Suçant leurs pointes mutines.
En savourant ces délicieux bonbons
Ta main doucement
Guide mon phallus vers ton clitoris,
Pendant que nos corps s’unissent.
Nos souffles s'échangent,
Et savamment s'ouvre ta frange,
Invitant mes douces caresses,
A se poser sur ton calice.
Me prend soudain l'envie
De te faire languir ma mie
Laisser monter en toi le crescendo
L'ivresse de l'amour et son tempo.
Je frôle ton velours intime
Qui larmoie et me fascine
Laissant ce triangle d’or
Piaffer d'impatience encore.
Ta peau se frotte contre la mienne,
Mendier la fin du supplice qui gêne
Vient le moment du délice
En pénétrant ton abysse.
A l'extrême finitude,
L'extase dans un coït torride
A la fois doux et sauvage
Qui apaise et soulage.
La musique convulsive de nos cris,
Nos souffles, nos soupirs en furie
L'exutoire de notre souffrance
Dans une commune jouissance.
Sur ce lit, me glisser près de toi,
Dans ces doux draps de soie,
Ma tendre, ma douce, ma lapine,
Effeuiller ta fleur, ton étoile, ta lune.
Te souffler des baisers
Sur tes lèvres si sucrées,
Eveiller tous nos émois
Envahis d'Amour Roi.
Frissonnants d'ivresse,
Nos bouches se pressent,
Sous ta nuisette de satin,
Ma main cherche tes seins,
Qui se tendent et se dressent
A bout de patience,
Mes mains, d’un coup,
Ouvrent ton corsage doux.
M'offrent tes formes rondes
Tour à tour ma bouche gourmande
S'empare de tes formes divines,
Suçant leurs pointes mutines.
En savourant ces délicieux bonbons
Ta main doucement
Guide mon phallus vers ton clitoris,
Pendant que nos corps s’unissent.
Nos souffles s'échangent,
Et savamment s'ouvre ta frange,
Invitant mes douces caresses,
A se poser sur ton calice.
Me prend soudain l'envie
De te faire languir ma mie
Laisser monter en toi le crescendo
L'ivresse de l'amour et son tempo.
Je frôle ton velours intime
Qui larmoie et me fascine
Laissant ce triangle d’or
Piaffer d'impatience encore.
Ta peau se frotte contre la mienne,
Mendier la fin du supplice qui gêne
Vient le moment du délice
En pénétrant ton abysse.
A l'extrême finitude,
L'extase dans un coït torride
A la fois doux et sauvage
Qui apaise et soulage.
La musique convulsive de nos cris,
Nos souffles, nos soupirs en furie
L'exutoire de notre souffrance
Dans une commune jouissance.
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