Poème Sur les bords du Tanganyika (en écho au "premier baiser" de Patgui)

Ce n'est plus un coup de foudre mais un feu qui ne s'etaint jamais... 🙏😊

Ce n'est pas faux.
Au départ c'est un coup de foudre allumant durablement la flamme qui ne fait que grandir avec le temps.
Merci de ton passage cher Sim.
Bonne nuit

Il suffit d'aller lire"Adieu mon Amour", ici sur jepoèmes, où dans mon recueil "Au fil de la Doue" (Editions Stellamaris) (2020) pour avoir la réponse.

Seule la mort pouvait nous séparer (momentanément) car je suis sûre que je le rejoindrai quand j'aurai fait mon temps ici-bas.

J'ai vécu quatre ans à Buja (1989-1993). J'évitais les plages, car les crocodiles n'étaient jamais loin. Et les hippopotames étaient bien chez eux aussi. Il ne fallait pas les énerver. Nous les admirions depuis la route, avant la tombée du jour. Ceux qui habitaient le long du Lac avaient leurs visites dans les jardins la nuit.
J'habitais sur la colline où l'on ne risquait que les balles perdues lors des tragiques événements...

Je me doutais bien que vous aviez pas mal bourlingué !
Ce qui est intellectuellement très enrichissant.

30 ans d'amour... waouh ! Et quel sonnet !

un jeune enfant à cheval sur le dos de sa grande soeur à quelques mètres du bord du lac à Bujum à été emporté par Gustave le vieux croco...Cela est arrivé dans le début des années 2000, vous étiez partie.
C'est vrai, j'ai bourlingué et pris comme vous de grands risques de balles et de machettes perdues. C'est dur aujourd'hui de devoir se contenter d' Hippopotamus, question dépaysement