Hors ligne
Toi, ma Muse, ma Sirène, ma poésie saphique
Tu es si belle et si pure,
Toi, ma Muse, ma Sirène, ma poésie saphique,
qu’à ta vue, les nuages éblouis par ta beauté,
s’exilent,
Toi, ma Muse, ma Sirène, ma poésie saphique,
qu’à ta vue, les nuages éblouis par ta beauté,
s’exilent,
Tu es la maîtresse de l’Univers,
les diamants de nuit s’agenouillent
face
au Soleil de ton visage.
les diamants de nuit s’agenouillent
face
au Soleil de ton visage.
Depuis ton avènement
parmi les bocages, et les montagnes,
les oiseaux se balancent
sur les rivages de ta sublimité,
parmi les bocages, et les montagnes,
les oiseaux se balancent
sur les rivages de ta sublimité,
j’habite en Toi, je ne vis que pour Toi,
Toi qui es le parc de mon âme,
laisse-moi te réciter
l’évangile de notre Amour.
Toi qui es le parc de mon âme,
laisse-moi te réciter
l’évangile de notre Amour.
Je musarde avec Toi, paume contre paume,
parmi les champs d’asphodèles, et les bosquets,
vêtue de ma micro-robe, de mes bas, et de mes bottines,
avec pour seule peau l’océan de ma Jouissance,
parmi les champs d’asphodèles, et les bosquets,
vêtue de ma micro-robe, de mes bas, et de mes bottines,
avec pour seule peau l’océan de ma Jouissance,
ma chair attend les strophes de tes privautés,
je placarde
sur les murs des cités,
sur les murailles invisibles des campagnes,
je placarde
sur les murs des cités,
sur les murailles invisibles des campagnes,
la concupiscence de mes mamelons,
et de ma Toison-corolle,
je
Te veux.
et de ma Toison-corolle,
je
Te veux.
Je renais chaque jour
sous les sceaux de ta tendresse,
je renais chaque saison
sous les flaques de ta clarté,
sous les sceaux de ta tendresse,
je renais chaque saison
sous les flaques de ta clarté,
Toi mon infini pétale de félicité,
Toi qui es de toute éternité,
enveloppe-moi en ton giron, et en tes paumes,
je serai dorénavant ta Dame de douceur !
Toi qui es de toute éternité,
enveloppe-moi en ton giron, et en tes paumes,
je serai dorénavant ta Dame de douceur !
Sophie Rivière