- Inscrit
- 25 Mars 2019
- Messages
- 2,007
- J'aime
- 4,142
- Points
- 173
- Je suis
- Une femme
Hors ligne
L’habitude s’est installée
et elle perdure au quotidien
ce qui jadis nous emballait
s’est réduit en peau de chagrin…..
Je pleure des larmes amères,
notre amour s’est effiloché
au cours des années de galère,
qu’a deux nous avons affronté.
À ta façon tu m’aimes encore,
mais ou est passé la passion?
tout ça me mine et me dévore
je n’arrive plus a faire front,
Persuadée que tes blessures,
sont plus importantes que les miennes.
Tu ignores du temps la morsure
et mes suppliques demeurent vaines.
Pendant dix ans ce fut très dur,
tu as souffert, ça j’en conviens
regarde moi je t’en conjure!
a nouveau je te tends la main.
En vérité toutes ses épreuves
t’éloignent de ce qui t’entoure
je t’ai pourtant fourni la preuve
que je croyais en notre amour.
Mais je demeure celle qui sert,
pour la maison, devant les autres,
les doux élans, connus naguère,
dans l’indifférence se vautrent.
J’attends des câlins des caresses,
rassure moi je crains le pire ….
seule ton assiette t’intéresse,
essaie au moins de me sourire
arrête de jouer les vieux ronchons,
essaie de me séduire encore,
je saisirai la balle au bond,
à ce jeu tu étais si fort……
tu savais me faire la cour,
et moi j’étais, folle de toi,
je t’ai donné tout mon amour,
te reste t’il une once de foi
Tu n’as jamais hésité pour
jeter sur moi ton dévolu,
aime moi comme au premier jour
rien n’est perdu, rien n’est «foutu»
Ne plonge pas dans cette horreur
qui fait de toi un égoïste,
ne voulant plus croire au bonheur
lève sur moi les yeux j’existe !
Vic septembre 2020
et elle perdure au quotidien
ce qui jadis nous emballait
s’est réduit en peau de chagrin…..
Je pleure des larmes amères,
notre amour s’est effiloché
au cours des années de galère,
qu’a deux nous avons affronté.
À ta façon tu m’aimes encore,
mais ou est passé la passion?
tout ça me mine et me dévore
je n’arrive plus a faire front,
Persuadée que tes blessures,
sont plus importantes que les miennes.
Tu ignores du temps la morsure
et mes suppliques demeurent vaines.
Pendant dix ans ce fut très dur,
tu as souffert, ça j’en conviens
regarde moi je t’en conjure!
a nouveau je te tends la main.
En vérité toutes ses épreuves
t’éloignent de ce qui t’entoure
je t’ai pourtant fourni la preuve
que je croyais en notre amour.
Mais je demeure celle qui sert,
pour la maison, devant les autres,
les doux élans, connus naguère,
dans l’indifférence se vautrent.
J’attends des câlins des caresses,
rassure moi je crains le pire ….
seule ton assiette t’intéresse,
essaie au moins de me sourire
arrête de jouer les vieux ronchons,
essaie de me séduire encore,
je saisirai la balle au bond,
à ce jeu tu étais si fort……
tu savais me faire la cour,
et moi j’étais, folle de toi,
je t’ai donné tout mon amour,
te reste t’il une once de foi
Tu n’as jamais hésité pour
jeter sur moi ton dévolu,
aime moi comme au premier jour
rien n’est perdu, rien n’est «foutu»
Ne plonge pas dans cette horreur
qui fait de toi un égoïste,
ne voulant plus croire au bonheur
lève sur moi les yeux j’existe !
Vic septembre 2020