Hors ligne
Une moitié de gens m'ignore
Dans leurs soucis dans leurs tracas
L'autre partie déjà m'enterre
Sans aucun lustre ou falbalas
Mais moi je vis en solitaire
Rêvant à de jolis ailleurs
Où m'éloignant de cette terre
Pour moi les jours seraient meilleurs
Bercés par la reconnaissance
De la valeur de mes écrits
Je reconnais mon impuissance
Et en moi s'élèvent des cris
Cris de détresse ou de douleur
Devant toute cette ignorance
Des cris venant des profondeurs
Des abîmes de la souffrance
Dans leurs soucis dans leurs tracas
L'autre partie déjà m'enterre
Sans aucun lustre ou falbalas
Mais moi je vis en solitaire
Rêvant à de jolis ailleurs
Où m'éloignant de cette terre
Pour moi les jours seraient meilleurs
Bercés par la reconnaissance
De la valeur de mes écrits
Je reconnais mon impuissance
Et en moi s'élèvent des cris
Cris de détresse ou de douleur
Devant toute cette ignorance
Des cris venant des profondeurs
Des abîmes de la souffrance