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Poème Turquie/Syrie

loulette

Grand poète
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SIX-FOURS LES PLAGES
Je suis
Une femme
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#1
Assis sur un tas de gravats, de rocaille et de détritus
Effondré par le chagrin ,le visage ravagé
L’homme anéanti, de son enfant mort, tient la main.
Tout n’est que désolation autour de lui,
Seul le bruit des machines, déblayant les rues,
Les pleurs des habitants désespérés
Soulevant des plaques de béton ,des parpaings,
Attentif au moindre cri , attentif au moindre bruit !
Dans l’espoir que quelqu’un ait survécu...
Dans cette masse de caillasses ,agglomérée ;
Turquie, Syrie, ton monde s’est anéanti, soudain,
Pleure ton peuple, ta terre tes enfants chéris,
Antioche ,métropole du christianisme en son début
Perle de l’orient, pourquoi les avoir abandonner ?
Comme, en Alaska, au Chili , étais ce leur destin ?
A Valdivia ‘(9,5 d’amplitude) en 1968 à Nurdargi
Des morts-vivants, des vivants-morts, qu’on évacues
Même plus la peine de les enterrer,
Leur linceul, quoique inhumain ,le sera encore demain
Turquie Syrie, pleurent leur beaux pays..
G.PERRIN fevrier 2023.
 

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Moïse Wolff

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#2
Bonsoir loulette, la réalité des événements est comme un éclaire bruyant déchirant le ciel, des enfants dans leur tendre innocence ont connu des souffrances que des gosses ne devraient jamais connaître, un tremblement de terre n'a pas d'état d'âme. Un sujet difficile.
 
Dernière édition:
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Je suis
Une femme
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#4
Assis sur un tas de gravats, de rocaille et de détritus
Effondré par le chagrin ,le visage ravagé
L’homme anéanti, de son enfant mort, tient la main.
Tout n’est que désolation autour de lui,
Seul le bruit des machines, déblayant les rues,
Les pleurs des habitants désespérés
Soulevant des plaques de béton ,des parpaings,
Attentif au moindre cri , attentif au moindre bruit !
Dans l’espoir que quelqu’un ait survécu...
Dans cette masse de caillasses ,agglomérée ;
Turquie, Syrie, ton monde s’est anéanti, soudain,
Pleure ton peuple, ta terre tes enfants chéris,
Antioche ,métropole du christianisme en son début
Perle de l’orient, pourquoi les avoir abandonner ?
Comme, en Alaska, au Chili , étais ce leur destin ?
A Valdivia ‘(9,5 d’amplitude) en 1968 à Nurdargi
Des morts-vivants, des vivants-morts, qu’on évacues
Même plus la peine de les enterrer,
Leur linceul, quoique inhumain ,le sera encore demain
Turquie Syrie, pleurent leur beaux pays..
G.PERRIN fevrier 2023.
Quelle tristesse et désolation , chaque cri ,chaque larme nous déchirent le coeur.

Bien ressentie ton texte
amitiés
Paula
 

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