Hors ligne
Cette jeune fille avait quelque chose de dynamique, dans cette belle matinée de printemps, elle marchait d’un pas décidé, qui faisait virevolter sa robe légère autour de ses genoux, ses yeux perdus dans un horizon qu’elle seule rêvais, elle ne voyais personne, mais souriait légèrement perdue dans ses pensées.
Ses longues enjambées, faisait remonter parfois le tissu et avec la complicité d’un vent léger, dévoilait une partie de ses cuisses blanches, de façon fugace. Ses longs cheveux bruns ondulaient sur ses épaules, ses yeux clairs donnaient l’impression d’étinceler, dans le mouvement de sa marche, sous son pull-over, sa poitrine balançait légèrement, et on pouvait situer avec exactitude l’endroit ou pointait ses mystères .
L’effet produit par cette première journée de soleil, et la vision de cette fille superbe, eut un effet des plus puissant sur mon pauvre cœur, qui a du s’arrêter de battre plusieurs minutes…. Je m’arrêtais quelques secondes, au milieu du trottoirs, Hésitant de me retourner, pour bénéficier plus longtemps de la vision, qui venait de frapper mon esprit tout illuminé. Il y avait déjà beaucoup de monde sur le boulevard, je soufflais quelques secondes puis me retournais. Elle avait déjà pris une belle distance, et j’ai presque du courir pour la rattraper. Vu de derrière, le tableau n’était pas mal non plus. De très jolies et longues jambes, le mouvement de sa robe, l’ensemble donnait une oeuvre d’art comme seule la nature sait en composer. Elle s’arrête à une porte, appuie sur le bouton de sonnette et la porte s’ouvre et avale la belle inconnue.
Mon cœur prêt à tous débordements m’a dicté pendant plusieurs jours d’essayer de passer devant cette maison, à la même heure puis à des heures différentes, mais sans succès et pourtant j’avais toujours son image gravée dans ma mémoire. Mais ma raison me disais qu’elle était bien trop belle pour moi, pauvre vers de terre amoureux d’une étoile.
Ses longues enjambées, faisait remonter parfois le tissu et avec la complicité d’un vent léger, dévoilait une partie de ses cuisses blanches, de façon fugace. Ses longs cheveux bruns ondulaient sur ses épaules, ses yeux clairs donnaient l’impression d’étinceler, dans le mouvement de sa marche, sous son pull-over, sa poitrine balançait légèrement, et on pouvait situer avec exactitude l’endroit ou pointait ses mystères .
L’effet produit par cette première journée de soleil, et la vision de cette fille superbe, eut un effet des plus puissant sur mon pauvre cœur, qui a du s’arrêter de battre plusieurs minutes…. Je m’arrêtais quelques secondes, au milieu du trottoirs, Hésitant de me retourner, pour bénéficier plus longtemps de la vision, qui venait de frapper mon esprit tout illuminé. Il y avait déjà beaucoup de monde sur le boulevard, je soufflais quelques secondes puis me retournais. Elle avait déjà pris une belle distance, et j’ai presque du courir pour la rattraper. Vu de derrière, le tableau n’était pas mal non plus. De très jolies et longues jambes, le mouvement de sa robe, l’ensemble donnait une oeuvre d’art comme seule la nature sait en composer. Elle s’arrête à une porte, appuie sur le bouton de sonnette et la porte s’ouvre et avale la belle inconnue.
Mon cœur prêt à tous débordements m’a dicté pendant plusieurs jours d’essayer de passer devant cette maison, à la même heure puis à des heures différentes, mais sans succès et pourtant j’avais toujours son image gravée dans ma mémoire. Mais ma raison me disais qu’elle était bien trop belle pour moi, pauvre vers de terre amoureux d’une étoile.