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Un monde pas net
Nous sommes attachés comme un bœuf d'attelage
A l'écran du smartphone en toutes occasions,
Écrans d'ordinateur ou de télévision,
Des heures au bureau, des soirées de gavage !
Nos esprits bombardés de rayons et d'images,
Addicts d'internet, tournent en dérision
Ceux qui n'ont pas chez eux wifi, câble ou station
De home-cinéma, streaming ou décodage.
Car du soir au matin, nos enfants sont rivés
Aux réseaux et aux jeux. Les chaînes nous enchaînent
Dans un doux précipice où les fatigues viennent
Déposer sur nos nuits leurs songes agités.
Cette drogue est, en nous, facteur de dépendance.
La nier ne serait qu'occulter nos errances.
La pieuvre étend ses bras dans un heureux brouillard,
Creusant toujours plus loin dans nos esprits défaits
Ses rêves de loisirs, de cocooning surfait,
Connectant nos maisons, nos sports, nos corbillards...
Arrête de scroller, jeunesse aux yeux hagards,
Tes selfies sans raison, tes likes obsédés.
Relève un peu la tête et va vers les forêts
Où la nature apaise un monde du regard.
Ne voyez-vous donc pas le danger des pâtures
Des burns-out du bureau, des déjantés du Net,
Des moutons affalés contre la devanture
D'insipides séries ou de talk-shows pas nets?
C'est un monde irréel aux faux amis en rage
Où la violence atteint le cerveau des plus sages !...
Nous sommes attachés comme un bœuf d'attelage
A l'écran du smartphone en toutes occasions,
Écrans d'ordinateur ou de télévision,
Des heures au bureau, des soirées de gavage !
Nos esprits bombardés de rayons et d'images,
Addicts d'internet, tournent en dérision
Ceux qui n'ont pas chez eux wifi, câble ou station
De home-cinéma, streaming ou décodage.
Car du soir au matin, nos enfants sont rivés
Aux réseaux et aux jeux. Les chaînes nous enchaînent
Dans un doux précipice où les fatigues viennent
Déposer sur nos nuits leurs songes agités.
Cette drogue est, en nous, facteur de dépendance.
La nier ne serait qu'occulter nos errances.
La pieuvre étend ses bras dans un heureux brouillard,
Creusant toujours plus loin dans nos esprits défaits
Ses rêves de loisirs, de cocooning surfait,
Connectant nos maisons, nos sports, nos corbillards...
Arrête de scroller, jeunesse aux yeux hagards,
Tes selfies sans raison, tes likes obsédés.
Relève un peu la tête et va vers les forêts
Où la nature apaise un monde du regard.
Ne voyez-vous donc pas le danger des pâtures
Des burns-out du bureau, des déjantés du Net,
Des moutons affalés contre la devanture
D'insipides séries ou de talk-shows pas nets?
C'est un monde irréel aux faux amis en rage
Où la violence atteint le cerveau des plus sages !...