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Un souvenir
Quand nos mains enlacées s’égarent près des vagues,
Dans ses doux murmures mon cœur entend le tien,
Sur la plage esseulée le temps nous appartient
Éternité bénie mon cœur pour toi divague.
Quand nos mains enlacées s’égarent près des vagues,
Le crépuscule étale au loin son lent déclin
Et tes yeux contemplent son vaste et doux carmin
Un joyau pour mon cœur rubis sur une bague.
Le vent dans tes cheveux rappellent à ma peau
La joie de nos touchers une extase à nouveau
Et le vent de la mer devient notre complice.
Quand nos mains enlacées errent près de la mer
Nos âmes s’unissent sous un ciel éphémère
Nos yeux s’entrelacent près des vagues qui bruissent.
Quand nos mains enlacées s’égarent près des vagues,
Dans ses doux murmures mon cœur entend le tien,
Sur la plage esseulée le temps nous appartient
Éternité bénie mon cœur pour toi divague.
Quand nos mains enlacées s’égarent près des vagues,
Le crépuscule étale au loin son lent déclin
Et tes yeux contemplent son vaste et doux carmin
Un joyau pour mon cœur rubis sur une bague.
Le vent dans tes cheveux rappellent à ma peau
La joie de nos touchers une extase à nouveau
Et le vent de la mer devient notre complice.
Quand nos mains enlacées errent près de la mer
Nos âmes s’unissent sous un ciel éphémère
Nos yeux s’entrelacent près des vagues qui bruissent.
