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Une boisson féline
Je me réanimais au beau milieu d’un rêve
Et de par un effluve aux tons chocolatées
J’avais la sensation de m’être réveillée
Au sein d’une cité où sans aucune trêve
Nous sommes submergés par de chaudes boissons
Qui appètent ma soif par leurs saveurs lactées
Plus ou moins épicées au sein de ces contrées.
En effet l’Italie est un puits d’abandon
Dans la gastronomie par cette anthologie
De cafés inédits qui achèvent les mets
Afin de terminer ces paradis gourmets
En une apothéose où les gouttes noircies
Constituent un chef-d’œuvre excitant nos palais.
L’Expresso bien corsé et le Capuccino
Evoquent la beauté qui rythment en trois mots
Le florilège aqueux suscitant mes attraits
Pour ce monde inventif aux multiples saveurs.
Je dois à ce pays toute mon affection
Pour cette découverte accroissant l’émotion
Des passions que je voue pour ce doux palliateur
Qui apaise mes maux sous sa robe nuptiale
Où la mousse associée à ce divin costume
Forme des angelots posés dans de la brume
Offrant le serrement d’un stratus clérical.
Ceci donne un arrêt favorisant l’absence
De la mélancolie durant ce laps de temps
Où nous ingurgitons ce firmament chauffant
Aux nués parsemées pour une nitescence
D’un zénith affublés d’aurores boréales
Afin de voyager au sein de météores
Enveloppant mon cœur d’un manteau poudré d’or.
Je me noie dans un songe en prenant un pétale
De cette rose noire arbitrant une tige
D’un matériau rouquin vêtu de céramique
Où arbore un relief détourant un cynique
Animal que j’adule accueillant les litiges
Comme une qualité un atout de talent
Le faisant parvenir toujours à ce qu’il souhaite.
Montrant sa dentition d’une blancheur parfaite
Sous son fameux sourire où inlassablement
Je me pâme d’amour sous ses célébrissimes
Yeux mi-clos m’observant d’un regard aguicheur
Qui ont toujours été un ancrage attiseur
Pour étoffer ma vie d’un humour rarissime.
Lui seul sait manœuvrer cette ironie sadique
Représentant pour moi tous les plus grands défauts
Que l’homme peut avoir en de hauts numéros
Afin de me livrer des instants poétiques
Manier adroitement sous l’écrit de Davis
Faisant de ces croquis des tableaux hilarant
Où chaque tare mute en aspect amusant.
Ce talentueux artiste a fait de son calice
Un recueil larmoyant de perles iconiques
Et c’est dans ce dernier que je bois mon café
Pour des instants de paix aux goûts de chrétienté
Afin de partager ces moments édéniques
Avec mon affectueux félidé rayonné
D’un clair-obscur rayé irradiant son pelage.
Il embrase mon âme en éclairant mes âges
Faisant de mes matins un instant journalier
De partages comblés avec ce tendre roi
Avec qui je détiens ce penchant partisan
Pour ce liquide astral sublimant mes printemps
Dans le monde rieur de ce totem narquois.
Oiseau Lyre.
Je me réanimais au beau milieu d’un rêve
Et de par un effluve aux tons chocolatées
J’avais la sensation de m’être réveillée
Au sein d’une cité où sans aucune trêve
Nous sommes submergés par de chaudes boissons
Qui appètent ma soif par leurs saveurs lactées
Plus ou moins épicées au sein de ces contrées.
En effet l’Italie est un puits d’abandon
Dans la gastronomie par cette anthologie
De cafés inédits qui achèvent les mets
Afin de terminer ces paradis gourmets
En une apothéose où les gouttes noircies
Constituent un chef-d’œuvre excitant nos palais.
L’Expresso bien corsé et le Capuccino
Evoquent la beauté qui rythment en trois mots
Le florilège aqueux suscitant mes attraits
Pour ce monde inventif aux multiples saveurs.
Je dois à ce pays toute mon affection
Pour cette découverte accroissant l’émotion
Des passions que je voue pour ce doux palliateur
Qui apaise mes maux sous sa robe nuptiale
Où la mousse associée à ce divin costume
Forme des angelots posés dans de la brume
Offrant le serrement d’un stratus clérical.
Ceci donne un arrêt favorisant l’absence
De la mélancolie durant ce laps de temps
Où nous ingurgitons ce firmament chauffant
Aux nués parsemées pour une nitescence
D’un zénith affublés d’aurores boréales
Afin de voyager au sein de météores
Enveloppant mon cœur d’un manteau poudré d’or.
Je me noie dans un songe en prenant un pétale
De cette rose noire arbitrant une tige
D’un matériau rouquin vêtu de céramique
Où arbore un relief détourant un cynique
Animal que j’adule accueillant les litiges
Comme une qualité un atout de talent
Le faisant parvenir toujours à ce qu’il souhaite.
Montrant sa dentition d’une blancheur parfaite
Sous son fameux sourire où inlassablement
Je me pâme d’amour sous ses célébrissimes
Yeux mi-clos m’observant d’un regard aguicheur
Qui ont toujours été un ancrage attiseur
Pour étoffer ma vie d’un humour rarissime.
Lui seul sait manœuvrer cette ironie sadique
Représentant pour moi tous les plus grands défauts
Que l’homme peut avoir en de hauts numéros
Afin de me livrer des instants poétiques
Manier adroitement sous l’écrit de Davis
Faisant de ces croquis des tableaux hilarant
Où chaque tare mute en aspect amusant.
Ce talentueux artiste a fait de son calice
Un recueil larmoyant de perles iconiques
Et c’est dans ce dernier que je bois mon café
Pour des instants de paix aux goûts de chrétienté
Afin de partager ces moments édéniques
Avec mon affectueux félidé rayonné
D’un clair-obscur rayé irradiant son pelage.
Il embrase mon âme en éclairant mes âges
Faisant de mes matins un instant journalier
De partages comblés avec ce tendre roi
Avec qui je détiens ce penchant partisan
Pour ce liquide astral sublimant mes printemps
Dans le monde rieur de ce totem narquois.
Oiseau Lyre.
