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Le bel esprit ne craint le vent aux souffles fort
Son trouble aura la fin et jamais ne perdure
Fais-le partir d'écrit pour retrouver l'effort
Au verbe et mots la cure au mal que l'on endure.
Navré est bien le ciel qui te voit si pleurer
Rends-lui autant son gris et laisse-lui les pleurs
Le sol de suite rit te laissant effleurer
Les plantes bien nourries en toute leur ampleur.
Fie-toi à ton crayon au soir quand il accouche
Le ver à blanc du fond quand tous seront aux lits
Et tends l'oreille aux cris de ceux qui ne se couchent
Qui sont là-bas au bois tout loin de nos conflits !...
Oublie la feuille au sol que le fatal succombe
Elle viendra un jour en de nouveaux habits
Mais pense à notre fin quand chacun de nous tombe
Sans plus y revenir après s'être affaibli !
Courir après l'ennui ou regarder les heures
Pour les voir tant s'enfuir, c'est aggraver l'état
D'un futur qui apeure et autant nous écœure
Mieux oublier le tout ensemble dans le tas.
Ahmed B. Le 1311.2018.
Avec mes sincères amitiés, Son trouble aura la fin et jamais ne perdure
Fais-le partir d'écrit pour retrouver l'effort
Au verbe et mots la cure au mal que l'on endure.
Navré est bien le ciel qui te voit si pleurer
Rends-lui autant son gris et laisse-lui les pleurs
Le sol de suite rit te laissant effleurer
Les plantes bien nourries en toute leur ampleur.
Fie-toi à ton crayon au soir quand il accouche
Le ver à blanc du fond quand tous seront aux lits
Et tends l'oreille aux cris de ceux qui ne se couchent
Qui sont là-bas au bois tout loin de nos conflits !...
Oublie la feuille au sol que le fatal succombe
Elle viendra un jour en de nouveaux habits
Mais pense à notre fin quand chacun de nous tombe
Sans plus y revenir après s'être affaibli !
Courir après l'ennui ou regarder les heures
Pour les voir tant s'enfuir, c'est aggraver l'état
D'un futur qui apeure et autant nous écœure
Mieux oublier le tout ensemble dans le tas.
Ahmed B. Le 1311.2018.