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Hors ligne
Une page blanche, quelle légèreté !!!
D’une grande légèreté ma plume s’est dotée.
Survolant le papier, sans vouloir se poser, s’attarder, se poser.
Indépendante et frivole, je ne puis la dompter,
Ma feuille, blanche elle laisse, immaculée, sans proser.
Mon imaginaire, contaminé, s’est fait la malle.
Ma muse créatrice, en léthargie, s’est assoupie,
Me laissant seul, devant mon écritoire, bien mal.
N’ayant plus d’idées, seul, le cerveau en charpie.
Que vais-je devenir, si je ne puis plus écrire ?
Si plus aucun de mes mots, en vers ne veulent s’accorder,
Si ma plume, légère, futile, continue d’en rire.
Cela en est fini de moi, écrivaillon, plus qu’à me saborder !
Qui a dit qu’une plume n’avait point de conscience ?
Me voyant là, dépité, malheureux, elle me dit, je reste !
Oubliant tout à coup son escapade, elle revint en confiance,
D’un trait léger, me laissa, cadeau, en fines traces, ce petit texte.
D’une grande légèreté ma plume s’est dotée.
Survolant le papier, sans vouloir se poser, s’attarder, se poser.
Indépendante et frivole, je ne puis la dompter,
Ma feuille, blanche elle laisse, immaculée, sans proser.
Mon imaginaire, contaminé, s’est fait la malle.
Ma muse créatrice, en léthargie, s’est assoupie,
Me laissant seul, devant mon écritoire, bien mal.
N’ayant plus d’idées, seul, le cerveau en charpie.
Que vais-je devenir, si je ne puis plus écrire ?
Si plus aucun de mes mots, en vers ne veulent s’accorder,
Si ma plume, légère, futile, continue d’en rire.
Cela en est fini de moi, écrivaillon, plus qu’à me saborder !
Qui a dit qu’une plume n’avait point de conscience ?
Me voyant là, dépité, malheureux, elle me dit, je reste !
Oubliant tout à coup son escapade, elle revint en confiance,
D’un trait léger, me laissa, cadeau, en fines traces, ce petit texte.