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Désolé d'écrire souvent des poèmes d'amour triste La vie ne m'ayant pas offert le grand Amour, la douleur a longtemps été ma muse inspiratrice !
Vain espoir
Chaque jour, je la vois passer sous mes fenêtres,
Avec sa robe fauve et son joli minois.
Elle sourit à tous, à la vie et...peut-être...
Qu'elle me sourirait si je la croisais, moi!
Toi?! Tout juste vêtu d'un pauvre complet triste
Elimé jusqu'au cou comme ce vieux clochard!
Elle, avec son tailleur sorti d'une modiste
Te donnerait l'aûmone en toisant ton regard!
Je voudrais qu'elle voit tout l'amour qu'elle inspire
Dans ce mâle désir déposé sur ses pas,
Dans ses cheveux soyeux, sur ses doigts qu'elle étire,
Gracieuse, en baillant, comme feulent les chats.
Elle s'arrêterait pour un instant...peut-être...
- Délicieux espoir où tout paraît léger -
De passer près de moi sans ressentir mon être
Qui meurt et se consume à ne pouvoir bouger,
Ne pas oser la prendre, en riant, par la taille
Et l'inviter à boire un café près d'ici.
Qu'importe ma dégaine et ma coiffe en bataille,
Je ne voudrais qu'une heure auprès d'elle...
…Tant pis…
Vain espoir
Chaque jour, je la vois passer sous mes fenêtres,
Avec sa robe fauve et son joli minois.
Elle sourit à tous, à la vie et...peut-être...
Qu'elle me sourirait si je la croisais, moi!
Toi?! Tout juste vêtu d'un pauvre complet triste
Elimé jusqu'au cou comme ce vieux clochard!
Elle, avec son tailleur sorti d'une modiste
Te donnerait l'aûmone en toisant ton regard!
Je voudrais qu'elle voit tout l'amour qu'elle inspire
Dans ce mâle désir déposé sur ses pas,
Dans ses cheveux soyeux, sur ses doigts qu'elle étire,
Gracieuse, en baillant, comme feulent les chats.
Elle s'arrêterait pour un instant...peut-être...
- Délicieux espoir où tout paraît léger -
De passer près de moi sans ressentir mon être
Qui meurt et se consume à ne pouvoir bouger,
Ne pas oser la prendre, en riant, par la taille
Et l'inviter à boire un café près d'ici.
Qu'importe ma dégaine et ma coiffe en bataille,
Je ne voudrais qu'une heure auprès d'elle...
…Tant pis…