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Veuillez m'en excuser je ne défile plus
En raison de mon âge je resterai reclus
Il faut bien que parfois les critiques s'aèrent
Dit un représentant du chemin populaire
Certes on aurait pu croire un pouvoir plus sensible
Un avenir meilleur et plus vite accessible.
Mais les manifestants étant ceux qui votèrent
Avaient prémédité dans l'urne leur colère.
Des discours faits de mots que l'espoir imagine
Mettant des grains de sable en l'étrange machine
Impressionnaient toujours les urnes populaires
Et de nombreux élus ne surent que déplaire.
C'était inévitable les parleurs les compteurs
N'avaient pas des promesses comparables valeurs
Et mises au pieds du mur les menteuses délices
Devant triste gestion allaient au précipice.
"Le pire des états c'est l'état populaire"
Nous aurait dit Cinna au siècle des lumières
Mais comment "contenter tout le monde et son père"
Quand la révolution fut choix du populaire.
Il fallut assumer et choisir des élites
Qui voulurent du pays accroitre les mérites
Mais le progrès hélas insouciant de l'ordre
Multipliant les choix engendra le désordre.
Bref le problème est là choisir est nécessaire
C'est la diversité qui compliquer l'affaire.
L'ambition aidant le mensonge pullule
Poussant les électeurs à des choix ridicules
Et c'est le bulletin qui dans l'urne s'égare
Qui fait que l'on élit quelques fois des ignares
Il faudra tôt ou tard que les sots, les nuisances,
Ne viennent plus fausser de l'état la balance
Et que le peuple puisse par voie référendaire
Chasser le politique élire le gestionnaire.
Ce sont les compétences qui manquent à un état
Dont l'excès de partis est cause de tracas.
En raison de mon âge je resterai reclus
Il faut bien que parfois les critiques s'aèrent
Dit un représentant du chemin populaire
Certes on aurait pu croire un pouvoir plus sensible
Un avenir meilleur et plus vite accessible.
Mais les manifestants étant ceux qui votèrent
Avaient prémédité dans l'urne leur colère.
Des discours faits de mots que l'espoir imagine
Mettant des grains de sable en l'étrange machine
Impressionnaient toujours les urnes populaires
Et de nombreux élus ne surent que déplaire.
C'était inévitable les parleurs les compteurs
N'avaient pas des promesses comparables valeurs
Et mises au pieds du mur les menteuses délices
Devant triste gestion allaient au précipice.
"Le pire des états c'est l'état populaire"
Nous aurait dit Cinna au siècle des lumières
Mais comment "contenter tout le monde et son père"
Quand la révolution fut choix du populaire.
Il fallut assumer et choisir des élites
Qui voulurent du pays accroitre les mérites
Mais le progrès hélas insouciant de l'ordre
Multipliant les choix engendra le désordre.
Bref le problème est là choisir est nécessaire
C'est la diversité qui compliquer l'affaire.
L'ambition aidant le mensonge pullule
Poussant les électeurs à des choix ridicules
Et c'est le bulletin qui dans l'urne s'égare
Qui fait que l'on élit quelques fois des ignares
Il faudra tôt ou tard que les sots, les nuisances,
Ne viennent plus fausser de l'état la balance
Et que le peuple puisse par voie référendaire
Chasser le politique élire le gestionnaire.
Ce sont les compétences qui manquent à un état
Dont l'excès de partis est cause de tracas.