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Votre regard m'apaise après bien des encore
Votre peau en cadeau aux couleurs du satin
Refusons donc le jour, je vous en implore
Que dure la nuit, votre corps dans mes mains
En délivrance émue vous versez une larme
Sur l’âtre qui s’enfuit à l’aube d’un nouveau jour
De vos belles couleurs dans un écrin de charme,
Vous semblez endormie dans un compte à rebours
Je vous veux rien qu'à moi et sans détour
Vous l'être que je veux aimer d'un fol amour
De mes lèvres vous effleurez d'un tendre baiser
Pour y puiser toute la richesse de la volupté...
Vos gestes fragiles apaisent mon âme
Si ce n'est vos douces paumes ouvertes
Caressant la chaleur de ma douce flamme
Celle d'une vie que je vous veux offerte
Dans vos paupières si pudiques
Se reflète la passion de mon âme
Qui s'envole vers votre être angélique
Et vos si tendres aveux de femme
Je pose la peinture et dessine votre sourire
La naissance d'un amour qui veut se grandir
Votre délicatesse efface tous mes égos
Si le jour se lève je m’écoulerais à mon marigot
Peu importe si la lumière nous importune
La peur d'être loin de vous à l'aurore
M'impatiente à la prochaine lune
Les braises de notre amour brûlant encore !
Votre peau en cadeau aux couleurs du satin
Refusons donc le jour, je vous en implore
Que dure la nuit, votre corps dans mes mains
En délivrance émue vous versez une larme
Sur l’âtre qui s’enfuit à l’aube d’un nouveau jour
De vos belles couleurs dans un écrin de charme,
Vous semblez endormie dans un compte à rebours
Je vous veux rien qu'à moi et sans détour
Vous l'être que je veux aimer d'un fol amour
De mes lèvres vous effleurez d'un tendre baiser
Pour y puiser toute la richesse de la volupté...
Vos gestes fragiles apaisent mon âme
Si ce n'est vos douces paumes ouvertes
Caressant la chaleur de ma douce flamme
Celle d'une vie que je vous veux offerte
Dans vos paupières si pudiques
Se reflète la passion de mon âme
Qui s'envole vers votre être angélique
Et vos si tendres aveux de femme
Je pose la peinture et dessine votre sourire
La naissance d'un amour qui veut se grandir
Votre délicatesse efface tous mes égos
Si le jour se lève je m’écoulerais à mon marigot
Peu importe si la lumière nous importune
La peur d'être loin de vous à l'aurore
M'impatiente à la prochaine lune
Les braises de notre amour brûlant encore !
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