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Redoutable virus de l’amour,
Celui qui vient sans détours,
Atteindre les cœurs aimants,
Sans avertir,il les prend.
Que l'on ne soigne pas,
Mais entretient pas à pas.
A coup de baisers et de câlins,
De regards soleil mutins.
Finir en joutes éperdues,
Dans la nuit attendue,
De deux corps amoureux,
De plus en plus fiévreux.
C’est la maladie du cœur
Qui apporte le bonheur,
Brise la solitude,
Apporte la plénitude.
De tendresse, de câlins,
Avec le même regain,
Simplement voir dans le regard
S'en aller le cafard.
De toutes les tristesses,
De toutes les détresses,
Fait briller à nouveau le soleil,
Redonnant un lot de merveilles.
C'est ça,le virus de l’amour,
Qui infectent les atours,
De ces sentiments suaves,
On devient l'éternel esclave.
Celui qui vient sans détours,
Atteindre les cœurs aimants,
Sans avertir,il les prend.
Que l'on ne soigne pas,
Mais entretient pas à pas.
A coup de baisers et de câlins,
De regards soleil mutins.
Finir en joutes éperdues,
Dans la nuit attendue,
De deux corps amoureux,
De plus en plus fiévreux.
C’est la maladie du cœur
Qui apporte le bonheur,
Brise la solitude,
Apporte la plénitude.
De tendresse, de câlins,
Avec le même regain,
Simplement voir dans le regard
S'en aller le cafard.
De toutes les tristesses,
De toutes les détresses,
Fait briller à nouveau le soleil,
Redonnant un lot de merveilles.
C'est ça,le virus de l’amour,
Qui infectent les atours,
De ces sentiments suaves,
On devient l'éternel esclave.
