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Voici novembre, ni chaud, ni tendre,
Le mois des jours plus sombres,
Ciel souvent gris, nuages et blizzard,
La nature se pare d’un épais brouillard.
Gonflé de pluies froides,
Vent glacial souffle en tornades,
Les feuilles mortes jonchant le sol,
Dansent, gambadent et cabriolent.
Percés par les yeux des automobiles,
Éclairant les routes, conduite difficile !
Les axes sur lesquels on chemine,
D'un commun accord, s’illuminent.
Dans les chaumières, crépitent
Les feux joyeux de l’âtre vétuste,
Ronronnent les chaudières,
Criant ! Gare au rhume de l’hiver.
Au travers des arbres mourants,
Le vent fait fuir les lamentations,
Des dernières feuilles jaunes,
Qui quittent les branches monotones.
Novembre, a aussi ses douceurs,
Qui résident toujours dans les cœurs,
Les tendresses et les bonheurs à vivre,
La joie d'exister, de survivre.
Le mois des jours plus sombres,
Ciel souvent gris, nuages et blizzard,
La nature se pare d’un épais brouillard.
Gonflé de pluies froides,
Vent glacial souffle en tornades,
Les feuilles mortes jonchant le sol,
Dansent, gambadent et cabriolent.
Percés par les yeux des automobiles,
Éclairant les routes, conduite difficile !
Les axes sur lesquels on chemine,
D'un commun accord, s’illuminent.
Dans les chaumières, crépitent
Les feux joyeux de l’âtre vétuste,
Ronronnent les chaudières,
Criant ! Gare au rhume de l’hiver.
Au travers des arbres mourants,
Le vent fait fuir les lamentations,
Des dernières feuilles jaunes,
Qui quittent les branches monotones.
Novembre, a aussi ses douceurs,
Qui résident toujours dans les cœurs,
Les tendresses et les bonheurs à vivre,
La joie d'exister, de survivre.