Hors ligne
attention cet écrit n'est pas pour provoquer des polémiques, c'est juste un rappel d'histoire, merci
Voyage en histoire France
1789…2016
La monarchie sur le déclin
Le France meurt de faim
Un siècle d’histoire
Un siècle de bagarre
De révoltes en révolutions
La terreur mène ses fronts
Une trêve, une accalmie
Les temps modernes en éclaircie
L’insouciance, la confiance
Redonnent vie à la France
C’est la belle époque dit-on
Avec ses belles inventions.
Puis la grande guerre fait route
Avec ses peurs, ses doutes
Un désastre meurtrier
Des milliers de désespérés
Les années folles
La Femme et son envol
La drôle de guerre, le racisme
La sale guerre, l’Indochine.
Reconstruire, rebâtir, obsessions
Algérie, érosions.
Mai 68, fracture potentielle,
Toute une révolution culturelle.
Les plaies à peine pansées
On retrouve France défigurée
Trente cinq années de terrorisme
Et de grand banditisme
Au nom de qui, au nom de quoi
Ils bafouent nos lois
Ne pas céder, ne pas craindre
Nul ne peut nous contraindre
Quelque soit l’agresseur
A courber l’échine par frayeur
Chaque jour, nous pleurons nos morts,
Front haut, nous lutterons encore.
Gabrielle. E.
Voyage en histoire France
1789…2016
La monarchie sur le déclin
Le France meurt de faim
Un siècle d’histoire
Un siècle de bagarre
De révoltes en révolutions
La terreur mène ses fronts
Une trêve, une accalmie
Les temps modernes en éclaircie
L’insouciance, la confiance
Redonnent vie à la France
C’est la belle époque dit-on
Avec ses belles inventions.
Puis la grande guerre fait route
Avec ses peurs, ses doutes
Un désastre meurtrier
Des milliers de désespérés
Les années folles
La Femme et son envol
La drôle de guerre, le racisme
La sale guerre, l’Indochine.
Reconstruire, rebâtir, obsessions
Algérie, érosions.
Mai 68, fracture potentielle,
Toute une révolution culturelle.
Les plaies à peine pansées
On retrouve France défigurée
Trente cinq années de terrorisme
Et de grand banditisme
Au nom de qui, au nom de quoi
Ils bafouent nos lois
Ne pas céder, ne pas craindre
Nul ne peut nous contraindre
Quelque soit l’agresseur
A courber l’échine par frayeur
Chaque jour, nous pleurons nos morts,
Front haut, nous lutterons encore.
Gabrielle. E.