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Voyageur du temps
J'ai le secret bien gardé de maîtriser
Le voyage dans le temps, ce rare pouvoir
De parcourir passé, futur, paralysé
Au départ par l'inconnu, j'ai eu le savoir.
Le dilemme, le choix du premier envol
La machine de prime abord est infernale
Pour le commun des mortels, car la voir en vol
Elle a l'air d'un monstre d'image d'Epinal.
La chose est de lumière et crache le feu
De fer et de verre, sur un cadran, boutons
Multicolores, il faut être courageux
Enclencher la manette et je pars vers Krypton !
La machine tremble, s’agite en tout sens
Et soudain un éclair qui m’aveugle un instant
Je perds connaissance, malgré la puissance
Reprenant mes esprits, je suis hors du temps.
Je sors de l’engin, le soleil est au zénith
De grands arbres m’entourent et leurs longues branches
Font de l’ombre, je vois sur le sol de granit
Un grand nid, arrive un oiseau aux ailes blanches.
Non ! Je ne rêve pas ! C’est un ptérodactyle !
Son envergure est immense, il fonce vers moi
Le cri est strident, cela m’effraie, inutile
Je dois rebrousser chemin, pas d’autre choix.
Et je remonte en vitesse dans l’appareil
J’appuie sans regarder sur le bouton, plein gaz
Le choc est terrible, j’ai très mal aux oreilles
Drôle d’endroit, le ciel est couleur turquoise.
Marqué sur le compteur, un saut de cent mille ans
Je ne peux pas le croire, enfin le futur
Est-ce encore la Terre, celle d’antan
Ou une autre planète, une autre nature ?
Je perds mes repères, dans l’étrange univers
Tout est bizarre, atterri sur un talus
J’aperçois un habitant, un petit homme vert
Il me fait signe de la main, je le salue !
J'ai le secret bien gardé de maîtriser
Le voyage dans le temps, ce rare pouvoir
De parcourir passé, futur, paralysé
Au départ par l'inconnu, j'ai eu le savoir.
Le dilemme, le choix du premier envol
La machine de prime abord est infernale
Pour le commun des mortels, car la voir en vol
Elle a l'air d'un monstre d'image d'Epinal.
La chose est de lumière et crache le feu
De fer et de verre, sur un cadran, boutons
Multicolores, il faut être courageux
Enclencher la manette et je pars vers Krypton !
La machine tremble, s’agite en tout sens
Et soudain un éclair qui m’aveugle un instant
Je perds connaissance, malgré la puissance
Reprenant mes esprits, je suis hors du temps.
Je sors de l’engin, le soleil est au zénith
De grands arbres m’entourent et leurs longues branches
Font de l’ombre, je vois sur le sol de granit
Un grand nid, arrive un oiseau aux ailes blanches.
Non ! Je ne rêve pas ! C’est un ptérodactyle !
Son envergure est immense, il fonce vers moi
Le cri est strident, cela m’effraie, inutile
Je dois rebrousser chemin, pas d’autre choix.
Et je remonte en vitesse dans l’appareil
J’appuie sans regarder sur le bouton, plein gaz
Le choc est terrible, j’ai très mal aux oreilles
Drôle d’endroit, le ciel est couleur turquoise.
Marqué sur le compteur, un saut de cent mille ans
Je ne peux pas le croire, enfin le futur
Est-ce encore la Terre, celle d’antan
Ou une autre planète, une autre nature ?
Je perds mes repères, dans l’étrange univers
Tout est bizarre, atterri sur un talus
J’aperçois un habitant, un petit homme vert
Il me fait signe de la main, je le salue !
