Au delà des chiffres, terribles (environ
350 000 morts depuis le début de la guerre en 2011, près de 5 millions de réfugiés), il s’agit de femmes, d’hommes et d’enfants qui se font massacrer sous les yeux d’un monde effaré, mais attentiste. A Alep, il est bien difficile de trouver à manger. Ou de se faire soigner, étant donné que les bombardements ont ciblé les hôpitaux, mais aussi les secouristes en casques blancs. Sans oublier les centaines d’enfants qui ont péri sous les bombes alors qu’ils prenaient le chemin de l’école. Pris au piège d’un conflit qui les dépassent et qui leur prend tout, jusqu’au dernier souffle.
Avec la meilleure volonté,je ne parviens pas a trouver "beau" ces immeubles éventrées,ces amas de pierrailles,ce cimetière a ciel ouvert,la mosquée transpercée ,effondrée!!!!!J'imagine tous ces corps ensevelis corps d'enfants,de femmes de jeunes et de vieux;La lumière a beau être "belle" chaude , elle a beau paraitre chaleureuse,c'est une tromperie,le ciel doit être bleu et lumineux,,c'est une façade,LA MORT REGNE ICI!
La syrie était pourtant si belle!Désolée,je n'ai pas l'oeil de l'artiste!