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J’ai beau faire des efforts intimes
Je ne vois rien qu’un simple abîme
Et nous plongeons tout droit dedans
La croix, l’étoile et le croissant.
Bien loin sont les idylles
Sommes nous destiné à mourir
Dans la décadence des ans
Nous voilà bien prêt à souffrir
Pour une heure de sacrement
Bien loin sont les idylles
On embrasse le monde immonde
Tentant d’y planter rosiers
Mais la fleur sait nauséabonde
Comme ses épines sont acérés
Bien loin sont les idylles
J’ai beau croire dans l’ami fragile
Je le suis tout autant de fait
Et nos amours cabossés se distillent
Dans l’océan du bois, des prés
Bien loin sont les idylles
J’aime quand tu ne t’illumines
Que le sacré vient te toucher
Je me sens là bien moins habile
Je t’écoute avec intérêt
Bien loin sont les idylles
Chaque être parfois s’habille
De soie, de tissu si léger
Que le vent les fera danser
Dans l’océan de sang, des prés
Bien loin sont les idylles
J’aime quand tu me charmes fille
Je suis plutôt d’un cœur léger
Qui se laisse aller mais ne vrille
Jamais pour le monde tout entier
Bien loin sont les idylles
Je veux bien être ton apôtre
Et toi ma nymphe allongé
Je peindrai ton cœur d’épeautre
Et de lui je ferai du pain léger
La croix, l’étoile et le croissant
Sont nos plus grandes avilîtes
Bien loin sont les idylles
Je ne vois rien qu’un simple abîme
Et nous plongeons tout droit dedans
La croix, l’étoile et le croissant.
Bien loin sont les idylles
Sommes nous destiné à mourir
Dans la décadence des ans
Nous voilà bien prêt à souffrir
Pour une heure de sacrement
Bien loin sont les idylles
On embrasse le monde immonde
Tentant d’y planter rosiers
Mais la fleur sait nauséabonde
Comme ses épines sont acérés
Bien loin sont les idylles
J’ai beau croire dans l’ami fragile
Je le suis tout autant de fait
Et nos amours cabossés se distillent
Dans l’océan du bois, des prés
Bien loin sont les idylles
J’aime quand tu ne t’illumines
Que le sacré vient te toucher
Je me sens là bien moins habile
Je t’écoute avec intérêt
Bien loin sont les idylles
Chaque être parfois s’habille
De soie, de tissu si léger
Que le vent les fera danser
Dans l’océan de sang, des prés
Bien loin sont les idylles
J’aime quand tu me charmes fille
Je suis plutôt d’un cœur léger
Qui se laisse aller mais ne vrille
Jamais pour le monde tout entier
Bien loin sont les idylles
Je veux bien être ton apôtre
Et toi ma nymphe allongé
Je peindrai ton cœur d’épeautre
Et de lui je ferai du pain léger
La croix, l’étoile et le croissant
Sont nos plus grandes avilîtes
Bien loin sont les idylles