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Blessure.
Fragilisé, il doit maquiller son cœur
L’habiller de rires, à l’abri des pleurs.
Le poète, l’amant des mots dans sa folie,
Dans un dernier quatrain, consume sa poésie.
La plume erre sur ses maux
Pour dissiper la blessure sous les mots.
À la mort de ses printemps,
L’hiver le délie de ses serments.
Nulles pages ne peuvent contenir sa douleur
Ses mots les transpercent sans douceur;
Ses écrits s’écroulent dans un trou béant.
La mère de la poésie ne peut consoler son enfant.
Pleure de toutes tes larmes ô mon âme,
Appose un baume sur cette blessure infâme
Ou la violence et la tristesse des mots
Blesse le cœur et vous transperce la peau.
Impoésie
Protégé par droits d’Auteur.
Fragilisé, il doit maquiller son cœur
L’habiller de rires, à l’abri des pleurs.
Le poète, l’amant des mots dans sa folie,
Dans un dernier quatrain, consume sa poésie.
La plume erre sur ses maux
Pour dissiper la blessure sous les mots.
À la mort de ses printemps,
L’hiver le délie de ses serments.
Nulles pages ne peuvent contenir sa douleur
Ses mots les transpercent sans douceur;
Ses écrits s’écroulent dans un trou béant.
La mère de la poésie ne peut consoler son enfant.
Pleure de toutes tes larmes ô mon âme,
Appose un baume sur cette blessure infâme
Ou la violence et la tristesse des mots
Blesse le cœur et vous transperce la peau.
Impoésie
Protégé par droits d’Auteur.