Poème Dans l'ombre du désert

L'esprit humain à la faculté de résilience face aux grandes traversées du désert...

Et son ombre peut-être comme un oasis ou le voyageur vient se poser...Enfin ça me donne cette impression...

Je me retrouve beaucoup dans cette ombre loin du bruit...loin des cris...

J'ai aimé ma lecture.

Quand tu traverses sombres, les regs asséchés
Ton esprit s’en va paître, en de tristes pensées
Ton cœur pris de douleur, commence à saigner
C’est le prix que l’on paye, pour toutes ces beautés

Quand tu te poses à l’ombre, d’une dune grandiose
Protégé des tempêtes et d'une nuit de sable
Tu te sens à l’abri le temps, d’un longue pause
Attendant calmement, en contant quelques fables

Si par chance le soleil, se met à te taner
Tu avances doucement dans le sable nouer
Tes pas sont des couteaux qui te font mal au pied
Mais ton corps résiste, tu es d’un divin porté

L’âne devant ton pas, te guide sans trépas
Et malgré l’alizée, le vent fort qui bat
Il connaît le chemin qui alors mènera
Ta carcasse de chair, jusqu’au puit de prélat

Dans l’ombre du désert la nuit
Tu verras les étoiles, les lumières de vie
Sous une couverture rèche tu t’endormira
Et jamais ton sommeil, au mauvais ne sera

j'aime très bien écrit ....quelque part il est rédempteur ....le désert ...ref ou pas.....le désert rédempteur de vic

j'aime très bien écrit ....quelque part il est rédempteur ....le désert ...ref ou pas.....le désert rédempteur de vic

bonjour victoria, vous voyez juste, c'est tout à fait cela.

merci

belle journée

michel

Ta poésie me fait penser au fils de l'homme....qui erra 40 jours dans le désert.

Bel écrit...merci Michel

Et on en sort grandi...
Très bel écrit, merci du partage...[/QUOTE
bonjour Libellule Rouge, je ne sais si on en sort grandit mais on en sort changer car les tempêtes de sable sont pires que celles de mer sur la grève. C'est une expérience étrangère à vous remuer car vous devenez aveugle.

merci pour votre encouragement

belle journée

michel

Quand tu traverses sombres, les regs asséchés
Ton esprit s’en va paître, en de tristes pensées
Ton cœur pris de douleur, commence à saigner
C’est le prix que l’on paye, pour toutes ces beautés

Quand tu te poses à l’ombre, d’une dune grandiose
Protégé des tempêtes et d'une nuit de sable
Tu te sens à l’abri le temps, d’un longue pause
Attendant calmement, en contant quelques fables

Si par chance le soleil, se met à te taner
Tu avances doucement dans le sable nouer
Tes pas sont des couteaux qui te font mal au pied
Mais ton corps résiste, tu es d’un divin porté

L’âne devant ton pas, te guide sans trépas
Et malgré l’alizée, le vent fort qui bat
Il connaît le chemin qui alors mènera
Ta carcasse de chair, jusqu’au puit de prélat

Dans l’ombre du désert la nuit
Tu verras les étoiles, les lumières de vie
Sous une couverture rèche tu t’endormira
Et jamais ton sommeil, au mauvais ne sera