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Les rues, de la vieille ville ,
naguère, si tranquille,
regorgeaient, de troquets,
de bars, d'estaminets,
nos études, comptaient,
mais lorsque, l'on sortait.
de la fac, des amphis,
nous n'avions qu'une envie,
aller, y discuter
sur leurs banquettes usées.
Les patrons "bons papas",
ne remarquaient,même pas,
que peu, consommateurs,
nous y restions des heures.
carabins laborieux,
gadzarts,ou bien baveux ,
écoutions Reggiani,
Brel, et Ferré aussi.
loin du tohu-bohu,
de tous les restos "U".
Nous pouvions, y fumer,
sans être pénalises,
c'est vrai, qu' en ce temps là,
n'existait pas la loi,
interdisant la "clope",
dans les bars, les échoppes.
pas de prohibition,
pour celles, que nous fumions,
nos poches, enfin ,vidées,
nous allions réviser.
Durant,nos années folles.
nous avions, nos idoles,
nos "nuits" classes ,nos "zinzins",
nos vinyles, nos bouquins,
des ciné-clubs, sympas,
qu'on payait peu, ou pas,
quelques hippies déjantés,
accros au Lsd,
pas toutes les saloperies,
qui vous tuent jour et nuit.
C’était ça, notre temps,
et, nous avions vingt ans.
Mai soixante huit, survint,
et changea nos destins,
dans las rues dépavées,
les étudiants hurlaient,
nos examens bâclés,
furent quand même empochés.
Mais bien ou mal vécu,
ce temps est révolu.
Et, c'est votre avenir,
qu'il nous faut prévenir,
de quoi sera t'il fait,
dans ce monde vicié?
ou trop de tolérance,
frôle la décadence,
notre terre va sombrer,
nous sommes en danger,
moi j'ai vécu !...... souvent
je pense, à nos enfants,
il faut qu'on les rassure,
qu'on prévoit leur futur,
la pollution des mers,
les déchets nucléaires,
les drogues, injectées,
les lignes inhalées,
cette "putain" d'maladie,
vous menacent aujourd'hui.
Songez donc, à transmettre,
à tous ceux qui vont naître,
une nature, belle et pure,
pas celle qu'on défigure.
Les magnas du pétrole,
eux, en bourse s'affolent,
mais de vie a trépas,
il n'y a plus qu'un pas,
je vais finir ma vie,
dans ce monde assoupi,,
réveillez le jeunesse!
prenez le de vitesse,
et sauvez la planète,
avant, qu'elle ne s’émiette.
Vic juillet 2010.....
naguère, si tranquille,
regorgeaient, de troquets,
de bars, d'estaminets,
nos études, comptaient,
mais lorsque, l'on sortait.
de la fac, des amphis,
nous n'avions qu'une envie,
aller, y discuter
sur leurs banquettes usées.
Les patrons "bons papas",
ne remarquaient,même pas,
que peu, consommateurs,
nous y restions des heures.
carabins laborieux,
gadzarts,ou bien baveux ,
écoutions Reggiani,
Brel, et Ferré aussi.
loin du tohu-bohu,
de tous les restos "U".
Nous pouvions, y fumer,
sans être pénalises,
c'est vrai, qu' en ce temps là,
n'existait pas la loi,
interdisant la "clope",
dans les bars, les échoppes.
pas de prohibition,
pour celles, que nous fumions,
nos poches, enfin ,vidées,
nous allions réviser.
Durant,nos années folles.
nous avions, nos idoles,
nos "nuits" classes ,nos "zinzins",
nos vinyles, nos bouquins,
des ciné-clubs, sympas,
qu'on payait peu, ou pas,
quelques hippies déjantés,
accros au Lsd,
pas toutes les saloperies,
qui vous tuent jour et nuit.
C’était ça, notre temps,
et, nous avions vingt ans.
Mai soixante huit, survint,
et changea nos destins,
dans las rues dépavées,
les étudiants hurlaient,
nos examens bâclés,
furent quand même empochés.
Mais bien ou mal vécu,
ce temps est révolu.
Et, c'est votre avenir,
qu'il nous faut prévenir,
de quoi sera t'il fait,
dans ce monde vicié?
ou trop de tolérance,
frôle la décadence,
notre terre va sombrer,
nous sommes en danger,
moi j'ai vécu !...... souvent
je pense, à nos enfants,
il faut qu'on les rassure,
qu'on prévoit leur futur,
la pollution des mers,
les déchets nucléaires,
les drogues, injectées,
les lignes inhalées,
cette "putain" d'maladie,
vous menacent aujourd'hui.
Songez donc, à transmettre,
à tous ceux qui vont naître,
une nature, belle et pure,
pas celle qu'on défigure.
Les magnas du pétrole,
eux, en bourse s'affolent,
mais de vie a trépas,
il n'y a plus qu'un pas,
je vais finir ma vie,
dans ce monde assoupi,,
réveillez le jeunesse!
prenez le de vitesse,
et sauvez la planète,
avant, qu'elle ne s’émiette.
Vic juillet 2010.....