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Dis le moi...
Lettre d'amour pour fêter nos dix ans de rencontres...
( Avec le conseil et la permission de ma femme je partage avec vous ce petit poème en prose ...)
( Avec le conseil et la permission de ma femme je partage avec vous ce petit poème en prose ...)
Puisque tu me trouves beau, et que tu incendies du regard les femmes dans la rue, qui me sourient. Puisque je fus grand sportif, et que je garde la carrure d'un athlète... mais non... dis le moi... encore une fois...
Puisque tu me trouves un bel esprit qui songe, un esprit en éveil, et une tête quoique fort souvent fuyant dans les astres ou les nuées, pour quitter un instant cette Terre austère, ce monde qui perd la tête...
Puisque bien instruit dans l'Ecole de la vie, je reste bien trop souvent dans le Sérieux de la vie... mais non... dis le moi... encore une fois...
Puisque tu me trouves le cœur adorable bien que parfois à panser, et l'âme émerveillée, disons le illuminée, même assis sur un banc, d'un pigeon qui doucement s'approche vers moi...
Puisqu'étonnée de toute vie, de toute créature, de toute Création... Puisque je pleure d'amour d'un poème d'un serin blessé...
Puisque mes mots ont l'air de bercer ta vie... mais non... dis le moi... encore une fois...
Puisque par dessus tout tu me trouves la grandeur d'un cœur, et la noblesse d'une âme... puisque tu pleures de joie à mon humour dévastateur, rire à t'en exploser le cœur... dis le moi enfin... que tu m'aimes...
Tu ressusciterais bien des cœurs, tu fleuris déjà le mien, le remplissant de Poésie et tu enchantes l'Instant...
Puisque tu m'as toujours trouvé, chère muse, l'âme d'un poète, l'esprit d'un penseur, et le cœur d'un enfant...
Alors dis-moi, ma Fleur, ma Camélia, qu'à la suite de dix années que nous nous sommes rencontrés dans ce parc, bourgeonnant nos cœurs... que par pure folie et d'une tendre fantaisie, je t'ai prise dans mes bras... que surprise, tu pleurais... que je séchais tes larmes avec ma Joie... que nos lèvres délicatement s'approchaient... que nos cœurs aux envies folles d'un grand Amour s'uniront...
Puisque tu me trouves un bel esprit qui songe, un esprit en éveil, et une tête quoique fort souvent fuyant dans les astres ou les nuées, pour quitter un instant cette Terre austère, ce monde qui perd la tête...
Puisque bien instruit dans l'Ecole de la vie, je reste bien trop souvent dans le Sérieux de la vie... mais non... dis le moi... encore une fois...
Puisque tu me trouves le cœur adorable bien que parfois à panser, et l'âme émerveillée, disons le illuminée, même assis sur un banc, d'un pigeon qui doucement s'approche vers moi...
Puisqu'étonnée de toute vie, de toute créature, de toute Création... Puisque je pleure d'amour d'un poème d'un serin blessé...
Puisque mes mots ont l'air de bercer ta vie... mais non... dis le moi... encore une fois...
Puisque par dessus tout tu me trouves la grandeur d'un cœur, et la noblesse d'une âme... puisque tu pleures de joie à mon humour dévastateur, rire à t'en exploser le cœur... dis le moi enfin... que tu m'aimes...
Tu ressusciterais bien des cœurs, tu fleuris déjà le mien, le remplissant de Poésie et tu enchantes l'Instant...
Puisque tu m'as toujours trouvé, chère muse, l'âme d'un poète, l'esprit d'un penseur, et le cœur d'un enfant...
Alors dis-moi, ma Fleur, ma Camélia, qu'à la suite de dix années que nous nous sommes rencontrés dans ce parc, bourgeonnant nos cœurs... que par pure folie et d'une tendre fantaisie, je t'ai prise dans mes bras... que surprise, tu pleurais... que je séchais tes larmes avec ma Joie... que nos lèvres délicatement s'approchaient... que nos cœurs aux envies folles d'un grand Amour s'uniront...
Dis le moi, qu'avec cette alchimie de nos cœurs, ces dix dernières années, si tu pensais les refaire, à mes côtés, que tu ne regrettes rien, nous les frêles roseaux, et le cœur de rossignols...
Dis moi que tu m'aimes et que tu rêverais de tout recommencer !
Dis moi que tu m'aimes et que tu rêverais de tout recommencer !
Tendrement, Julien
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