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C’est une candeur si douce
Que sa peau renvoie innocente
D’avoir subit, d’être surtout
Le sujet de tant de souffrances
Le dessein de manœuvres sombres
L’attachement de longues heures
La part brûlante des démences
Que l’on étreint avec le cœur
C’est une beauté sans détour
La grâce de l’affable bonheur
Un méridien qui courbe pour
Ses lèvres séduisant la terre
Comme les anges, elle aussi pleure
Se tord le ventre de tristesse
Mais parfois y passe des richesses
Qui sont de jouissantes chaleurs
C’est une femme et son histoire
Celle de Marie au sacrifice
Du désir que procure l’attente
De se donner, d’être meurtri
Et moi pauvre bougre sans savoir
Que suis je donc devant Sisyphe
Je l’observe, et sans le vice
Tente mes bras et quelques gloires
Que sa peau renvoie innocente
D’avoir subit, d’être surtout
Le sujet de tant de souffrances
Le dessein de manœuvres sombres
L’attachement de longues heures
La part brûlante des démences
Que l’on étreint avec le cœur
C’est une beauté sans détour
La grâce de l’affable bonheur
Un méridien qui courbe pour
Ses lèvres séduisant la terre
Comme les anges, elle aussi pleure
Se tord le ventre de tristesse
Mais parfois y passe des richesses
Qui sont de jouissantes chaleurs
C’est une femme et son histoire
Celle de Marie au sacrifice
Du désir que procure l’attente
De se donner, d’être meurtri
Et moi pauvre bougre sans savoir
Que suis je donc devant Sisyphe
Je l’observe, et sans le vice
Tente mes bras et quelques gloires