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Après avoir partagés des confidences
Toi, celui qui prétendait être mon ami
De soirées refait le monde en préscience
Toi, qui de même confiait nos vies en partie
Tu as bu de mon âme jusque vers un trépas
Toi qui toujours me disait que j’existait
Au travers de ta conscience pleine de joie
Toi, tu abusas de ces promesses et d’excès
Car jamais tu ne portais, sincère et sans foi
Des projets, des propos, tes projections vers moi
Manipulant sans vertus l’art de la parole
Toi, tu parlais, tu parlais et tes cautèles folles
Jouant de bienveillance quand cela t’arrangeais
Toi qui partais pour une fille, un autre émoi
Jouant de disparaître quand cela te plaisait
Toi, et pour d’autres, tu te moquais de moi
Tu me l’a dis parmis tout ces mensonges
Toi, tu choisissais l’amour ou la haine
Alors je préfère et de loin que tu t’allonges
Toi et ton lit de besognes, à tes pensées si blêmes
J’ai trop donner de ma personne
Tu es l’ombre de l’amitié
L’éloge de la trahison
La sincérité se fait quand on assène
De la bienveillance pour deux
Et non de l’ignorance malsaine
Toi, celui qui prétendait être mon ami
De soirées refait le monde en préscience
Toi, qui de même confiait nos vies en partie
Tu as bu de mon âme jusque vers un trépas
Toi qui toujours me disait que j’existait
Au travers de ta conscience pleine de joie
Toi, tu abusas de ces promesses et d’excès
Car jamais tu ne portais, sincère et sans foi
Des projets, des propos, tes projections vers moi
Manipulant sans vertus l’art de la parole
Toi, tu parlais, tu parlais et tes cautèles folles
Jouant de bienveillance quand cela t’arrangeais
Toi qui partais pour une fille, un autre émoi
Jouant de disparaître quand cela te plaisait
Toi, et pour d’autres, tu te moquais de moi
Tu me l’a dis parmis tout ces mensonges
Toi, tu choisissais l’amour ou la haine
Alors je préfère et de loin que tu t’allonges
Toi et ton lit de besognes, à tes pensées si blêmes
J’ai trop donner de ma personne
Tu es l’ombre de l’amitié
L’éloge de la trahison
La sincérité se fait quand on assène
De la bienveillance pour deux
Et non de l’ignorance malsaine