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Entre ciel et terre (éther)
Depuis la nuit des temps, le genre humain sans fard*1
- Homère, sans un masque, - a voulu taquiner
La muse, Ah ! les jolies muses! L'art était né !
Ô mon soleil de joie, tel dans le jour un phare !
Même Dieu selon moi est une création,
Née d'une grande idée, joliment poétique,
Puis pour se rassurer : purement esthétique;
Ô Seigneur, je saigne, ô soigneur... la purgation !
Je tiens à l'avouer, j'aime croire au Divin
Cocher, "grand Horloger" ! Maître du temps qui passe;
Maître des destinées, Maître qui nous dépasse !
Tu nous as délivré... ton miracle du vin...
La lune règne dans la nuit, astre de glace !
Sourde aux gémissements, aveugle à nos souffrances
Tout comme toi nous suivons tous nos errances
L'aube renaît, tu disparais, tu perds ta place !
Marchant à mes côtés, envolée pour toujours
Telle l'aube, mère, si vite disparue
Du gouffre a-mer, ta main ne m'a pas retenu !
J'attends demain si Dieu est bon comme le Jour ?!
Oubliant ma plume, ma vie, l'amour, mon art
J'ai sombré, dans des paradis artificiels;
Oubliant comment est beau, pur et bleu le ciel...
Est-ce la volonté d'un dieu ou du hasard ?
Je n'en sais rien, et cela me trouble et m'égare;
Je me souviens de toi, ange et soleil de joie !
Je me souviens de toi, tu es partie sans moi !
Le tourment m'enveloppe tel la nuit, blafard!
Je reste ton enfant, je ne fais que prière;
Encor tu m'apparais, dans des si vastes songes;
A tel point que ton beau sourire exquis me ronge !
Enfin maman, me manque aussi ta Lumière !
Je perds mon repère , j'ai perdu mon bonheur !
Ange tu de-meures ,j'ai perdu ma boussole,
Mon soleil de joie, et toutes nos heures folles
Chaque jour je me meurs, en charmant ma douleur !
Depuis la nuit des temps, le genre humain sans fard*1
- Homère, sans un masque, - a voulu taquiner
La muse, Ah ! les jolies muses! L'art était né !
Ô mon soleil de joie, tel dans le jour un phare !
Même Dieu selon moi est une création,
Née d'une grande idée, joliment poétique,
Puis pour se rassurer : purement esthétique;
Ô Seigneur, je saigne, ô soigneur... la purgation !
Je tiens à l'avouer, j'aime croire au Divin
Cocher, "grand Horloger" ! Maître du temps qui passe;
Maître des destinées, Maître qui nous dépasse !
Tu nous as délivré... ton miracle du vin...
La lune règne dans la nuit, astre de glace !
Sourde aux gémissements, aveugle à nos souffrances
Tout comme toi nous suivons tous nos errances
L'aube renaît, tu disparais, tu perds ta place !
Marchant à mes côtés, envolée pour toujours
Telle l'aube, mère, si vite disparue
Du gouffre a-mer, ta main ne m'a pas retenu !
J'attends demain si Dieu est bon comme le Jour ?!
Oubliant ma plume, ma vie, l'amour, mon art
J'ai sombré, dans des paradis artificiels;
Oubliant comment est beau, pur et bleu le ciel...
Est-ce la volonté d'un dieu ou du hasard ?
Je n'en sais rien, et cela me trouble et m'égare;
Je me souviens de toi, ange et soleil de joie !
Je me souviens de toi, tu es partie sans moi !
Le tourment m'enveloppe tel la nuit, blafard!
Je reste ton enfant, je ne fais que prière;
Encor tu m'apparais, dans des si vastes songes;
A tel point que ton beau sourire exquis me ronge !
Enfin maman, me manque aussi ta Lumière !
Je perds mon repère , j'ai perdu mon bonheur !
Ange tu de-meures ,j'ai perdu ma boussole,
Mon soleil de joie, et toutes nos heures folles
Chaque jour je me meurs, en charmant ma douleur !
J. Lou
Le 29 Juillet 2020
Le 29 Juillet 2020
*1 12 ou 13 syllabes càd le/gen/re-hu/main ou le/gen/re/hu/main ?
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