Hors ligne
Être poète
______ . ______
Être poète c’est avoir de l’appétence pour ce qui est beau,
Le plumage, le chant d’un oiseau.
Savoir lever le nez pour contempler la voûte étoilée.
Méditer sur l’immensité du cosmos dévoilée.
Être médusé par Le soleil levant, le soleil couchant,
Embrasant l’horizon d’un incendie merveilleux.
Être ému aux larmes par la tendresse,
S’opposant à la violence avec pertinence.
Par l’intelligence bravant le mensonge et la médiocrité.
Prendre partie pour l’oiseau s’échappant des griffes du matou.
Observer la mésange charbonnière toujours active,
Dans ses occupations menées de façon très vives,
Mais qui cependant zinzinule durant ses courtes pauses,
Afin d’établir des liens sociaux avec ses congénères !
Ne croyez pas que j’exagère,
C’est la stricte vérité.
Savoir rester assis à contempler les vaguelettes de l’étang,
Jouant dans la lumière douce du printemps.
Faire silence afin de mieux entendre les milles bruits de la nature :
Du murmure du déversoir, de la fuite d’un lézard, au broutement des chevaux dans la Pâture.
Tous les bruits qui vibrent, chantent, s’expriment dans les partitions
De la nature exprimant les désirs de vivre dans la paix dans la conscience de l’union de toutes les vies.
Raymond 16 02 2024
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Être poète c’est avoir de l’appétence pour ce qui est beau,
Le plumage, le chant d’un oiseau.
Savoir lever le nez pour contempler la voûte étoilée.
Méditer sur l’immensité du cosmos dévoilée.
Être médusé par Le soleil levant, le soleil couchant,
Embrasant l’horizon d’un incendie merveilleux.
Être ému aux larmes par la tendresse,
S’opposant à la violence avec pertinence.
Par l’intelligence bravant le mensonge et la médiocrité.
Prendre partie pour l’oiseau s’échappant des griffes du matou.
Observer la mésange charbonnière toujours active,
Dans ses occupations menées de façon très vives,
Mais qui cependant zinzinule durant ses courtes pauses,
Afin d’établir des liens sociaux avec ses congénères !
Ne croyez pas que j’exagère,
C’est la stricte vérité.
Savoir rester assis à contempler les vaguelettes de l’étang,
Jouant dans la lumière douce du printemps.
Faire silence afin de mieux entendre les milles bruits de la nature :
Du murmure du déversoir, de la fuite d’un lézard, au broutement des chevaux dans la Pâture.
Tous les bruits qui vibrent, chantent, s’expriment dans les partitions
De la nature exprimant les désirs de vivre dans la paix dans la conscience de l’union de toutes les vies.
Raymond 16 02 2024