Hors ligne
Hier encore sur les sentiers
Tu me prenais la main.
J’étais fou, et je croyais en demain
Qu’a-t-il pu se passer
Pour que tu puisses jouer
À ce petit jeu des culs tournés.
Tu me disais des je t’aime
À n’en plus finir
Et, au jourd’hui, je me retrouve sur la Seine
Envisageant d’en finir
Avec la vie, avec toi.
Il n’y a plus rien de vrai
Tu étais braise
Et, au jourd’hui, le feu s’est éteint
Et, je me retrouve sans lendemain
Caressant le fronton de ce joli pont
Qui nous a vu nous aimer
Ai-je perdu la raison
De vouloir ainsi sauter
Pour un amour déçu
Ai-je vraiment tout perdu
En te faisant trop confiance
Je veux la délivrance.
IRIS 1950
Tu me prenais la main.
J’étais fou, et je croyais en demain
Qu’a-t-il pu se passer
Pour que tu puisses jouer
À ce petit jeu des culs tournés.
Tu me disais des je t’aime
À n’en plus finir
Et, au jourd’hui, je me retrouve sur la Seine
Envisageant d’en finir
Avec la vie, avec toi.
Il n’y a plus rien de vrai
Tu étais braise
Et, au jourd’hui, le feu s’est éteint
Et, je me retrouve sans lendemain
Caressant le fronton de ce joli pont
Qui nous a vu nous aimer
Ai-je perdu la raison
De vouloir ainsi sauter
Pour un amour déçu
Ai-je vraiment tout perdu
En te faisant trop confiance
Je veux la délivrance.
IRIS 1950