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Ils se sont aimés cette nuit
Il était loin le pornographe et sa machine
L’amour n’est pas une vermine
Qu’on blesse par des gestes éconduits
Ils ont pris leur temps pour se plaire
Les yeux dans les yeux aux baisers
Légères brises entre les lèvres
Les yeux ouverts, les yeux fermés
Elle a caressé ses épaules
Puis glissé sur son torse bombé
Sa main douce aux doigts si légers
Cela d’un coup la rendit folle
Il attrapa sa hanche carné
L’agrippa prêt à l’emporter
Tel Aquilon souffle merveilles
Les nuages de sa peau au ciel
Les langues se sont alors un peu frotté
Tout doucement puis en puissance
Revenant vers un doux baiser
Pour retourner dans l’allégeance
Des corps qui déjà se frottaient
Comme deux moitiés de fruit coupés
C’est alors qu’il pris dans sa main
Sa nuque et tirant vers le haut
La fit glisser juste ou il faut
Ils n’ont pas été très sauvage
Regarder le plaisir de l’âge
Quand on se lie dans un cadeau
On se repose un peu la nuit
Mais le sommeil n’existe plus
L’appel des chaires ne font plus qu’une
Et sont drogues qui maintiennent la pluie
Ils se sont aimés, ils ont vécu.
Il était loin le pornographe et sa machine
L’amour n’est pas une vermine
Qu’on blesse par des gestes éconduits
Ils ont pris leur temps pour se plaire
Les yeux dans les yeux aux baisers
Légères brises entre les lèvres
Les yeux ouverts, les yeux fermés
Elle a caressé ses épaules
Puis glissé sur son torse bombé
Sa main douce aux doigts si légers
Cela d’un coup la rendit folle
Il attrapa sa hanche carné
L’agrippa prêt à l’emporter
Tel Aquilon souffle merveilles
Les nuages de sa peau au ciel
Les langues se sont alors un peu frotté
Tout doucement puis en puissance
Revenant vers un doux baiser
Pour retourner dans l’allégeance
Des corps qui déjà se frottaient
Comme deux moitiés de fruit coupés
C’est alors qu’il pris dans sa main
Sa nuque et tirant vers le haut
La fit glisser juste ou il faut
Ils n’ont pas été très sauvage
Regarder le plaisir de l’âge
Quand on se lie dans un cadeau
On se repose un peu la nuit
Mais le sommeil n’existe plus
L’appel des chaires ne font plus qu’une
Et sont drogues qui maintiennent la pluie
Ils se sont aimés, ils ont vécu.