• Forum de Poésie. Postez vos poèmes, vos commentaires...
    Bienvenue à tous les poètes ! Forum de poésie, où tout le monde peut poster ses poèmes, mettre son avis sur les poèmes des autres et participer aux discussions !
Image cliquable Image Cadeau Fête des Mères

Poème La rimeuse d'espoir.

troubadour

Grand poète
Inscrit
19 Avril 2019
Messages
601
J'aime
1,249
Points
98
Je suis
Un homme
Hors ligne
#1
Sur la place d'un marché, une foule abonde,

J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,

Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,

celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,



Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,

Portant une longue jupe au corsage scintillé.

Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,

La foule en liesse applaudissait dans la joie.



Elle était d'une légèreté et d'une grâce,

Son corps enchanté toute âme sur la place.

Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,

Écoutant ses récits aux belles résonances.



Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,

A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,

Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,

je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.



Recherchant ma richesse au creux de mon âme,

Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,

Témoignant de mon grand respect à cette femme,

je jette tout mon lyrisme, tel argentier.



Elle chante et danse en cercle avec aisance,

Laissant tous ces petites gens émerveillés,

Elle a su garder toute sa complaisance,

Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.



Il parait chez elle, un ancien héritage,

De conter la vie en rimes et versification.

Panser blessures et redonner avantage,

A ces milliers de gens, qui prêtent attention.



A la fin, elle salut d'une révérence,

Les villageois, qui lui témoignent admiration.

Elle reprend son chemin en toute confiance,

Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.


images (20).jpg


 

RougePivoine

Grand poète
Inscrit
13 Avril 2019
Messages
620
J'aime
967
Points
148
Je suis
Une femme
Hors ligne
#4
Sur la place d'un marché, une foule abonde,

J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,

Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,

celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,



Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,

Portant une longue jupe au corsage scintillé.

Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,

La foule en liesse applaudissait dans la joie.



Elle était d'une légèreté et d'une grâce,

Son corps enchanté toute âme sur la place.

Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,

Écoutant ses récits aux belles résonances.



Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,

A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,

Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,

je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.



Recherchant ma richesse au creux de mon âme,

Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,

Témoignant de mon grand respect à cette femme,

je jette tout mon lyrisme, tel argentier.



Elle chante et danse en cercle avec aisance,

Laissant tous ces petites gens émerveillés,

Elle a su garder toute sa complaisance,

Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.



Il parait chez elle, un ancien héritage,

De conter la vie en rimes et versification.

Panser blessures et redonner avantage,

A ces milliers de gens, qui prêtent attention.



A la fin, elle salut d'une révérence,

Les villageois, qui lui témoignent admiration.

Elle reprend son chemin en toute confiance,

Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.


Voir la pièce jointe 12948
"La Rimeuse d'Espoir" voilà qui présageait un bel écrit
Je ne suis pas décue
J'ai beaucoup aimé
Belle journée Troubadour
 

Victoria5983

Grand poète
Inscrit
25 Mars 2019
Messages
2,007
J'aime
4,142
Points
173
Je suis
Une femme
Hors ligne
#6
Sur la place d'un marché, une foule abonde,

J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,

Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,

celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,



Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,

Portant une longue jupe au corsage scintillé.

Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,

La foule en liesse applaudissait dans la joie.



Elle était d'une légèreté et d'une grâce,

Son corps enchanté toute âme sur la place.

Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,

Écoutant ses récits aux belles résonances.



Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,

A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,

Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,

je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.



Recherchant ma richesse au creux de mon âme,

Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,

Témoignant de mon grand respect à cette femme,

je jette tout mon lyrisme, tel argentier.



Elle chante et danse en cercle avec aisance,

Laissant tous ces petites gens émerveillés,

Elle a su garder toute sa complaisance,

Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.



Il parait chez elle, un ancien héritage,

De conter la vie en rimes et versification.

Panser blessures et redonner avantage,

A ces milliers de gens, qui prêtent attention.



A la fin, elle salut d'une révérence,

Les villageois, qui lui témoignent admiration.

Elle reprend son chemin en toute confiance,

Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.


Voir la pièce jointe 12948
joli "ça" me fait penser au film "la contesse aux pieds nus " avec Ava Gardner qui quand le conte l'a connu était téléchargement (2).jpg une gitane
 

D.Isabelle

Maître poète
Inscrit
6 Septembre 2018
Messages
6,157
J'aime
10,478
Points
183
Localité
France
Je suis
Une femme
Hors ligne
#14
Sur la place d'un marché, une foule abonde,

J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,

Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,

celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,



Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,

Portant une longue jupe au corsage scintillé.

Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,

La foule en liesse applaudissait dans la joie.



Elle était d'une légèreté et d'une grâce,

Son corps enchanté toute âme sur la place.

Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,

Écoutant ses récits aux belles résonances.



Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,

A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,

Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,

je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.



Recherchant ma richesse au creux de mon âme,

Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,

Témoignant de mon grand respect à cette femme,

je jette tout mon lyrisme, tel argentier.



Elle chante et danse en cercle avec aisance,

Laissant tous ces petites gens émerveillés,

Elle a su garder toute sa complaisance,

Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.



Il parait chez elle, un ancien héritage,

De conter la vie en rimes et versification.

Panser blessures et redonner avantage,

A ces milliers de gens, qui prêtent attention.



A la fin, elle salut d'une révérence,

Les villageois, qui lui témoignent admiration.

Elle reprend son chemin en toute confiance,

Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.


Voir la pièce jointe 12948

Vous nous faites planer Troubadour avec cette jolie poésie, un vrai bonheur à lire! Bravo
Merci de ce très beau partage
Bonne fin de soirée
Amitiés
Isabelle
Moi.jpg
 
Haut